La pandémie covid fait-elle partie de la guerre virologique ?
29 janvier 2023, 15:18, par Jefresi
La pandémie COVID n’a d’origine que parce que la science n’a pas réglé la question de l’existence des virus. Depuis le 18ème siècle de nombreuses polémiques se sont affrontés à ce sujet. Les scientifiques du 20ème siècle ont poursuivi ces polémiques pour aboutir à figer le doute dans le combat des virus par des thérapies vaccinales ou médicamenteuses favorables au développement d’une puissante industrie chimique. Or dès le milieu du 19ème siècle, une réponse claire, simple et dépourvue d’ambiguïté a été apporté, à savoir que les virus n’existent pas et ne sont pas des organismes vivants, des êtres vivants. De nombreux travaux de savants de cette époque ont apporté des réponses variées, circonstanciées, convaincantes malgré l’usage d’outils d’investigations relativement limités. Durant des dizaines années, lors de minutieuses observations, ces savants ont compilé de nombreuses données qu’ils présentaient, interprétaient lors de congrès, de réunions, de rencontres dans le but d’une compréhension commune de leurs travaux respectifs. Au 21ème siècle, le développement du traitement des données a atteint un développement tel que ce qui demandait des années de traitements humains se réalise en quelques secondes, minutes, voire quelques heures. Bref, la recherche de virus et la démonstration de leur existence n’a toujours pas abouti. Par contre, la fabrication de produits variés destinés à les combattre n’a jamais été aussi vive et… inefficace. A l’appui de ces quelques remarques, il y aurait lieu de relire les savants du 19ème siècle et leurs œuvres qui représentent un patrimoine scientifique inégalé dans l’histoire de l’humanité, à condition de les lire. Des auteurs comme Claude Bernard, Berthelot, Pasteur, Schwann, Schroeder, Dush, Antoine Béchamp et une foultitude d’autres empilés, oubliés sur les étagères des académies et bibliothèques scientifiques. Toutes ces études ont contribué à l’essor des sciences et plus singulièrement la biologie. Au travers de leurs travaux, aucun de ces nombreux savants n’est allé jusqu’à imposer la certitude de l’existence des virus, encore plus vivants, malgré l’usage du mot virus. Le plus fécond d’entre eux semble être Béchamp et sa théorie des microzymas qui semble remonter actuellement à la surface des profondeurs des océans de papiers en changeant de nom avec les nanob ou nanobactérie. Mais cette théorie, qui s’oppose à près de 170 ans d’intoxication de virus divers et variés, va avoir beaucoup de mal à renaître, surtout devant une industrie chimique en mal de gros profit, essentiellement basée sur une ignorance.
La pandémie COVID n’a d’origine que parce que la science n’a pas réglé la question de l’existence des virus. Depuis le 18ème siècle de nombreuses polémiques se sont affrontés à ce sujet. Les scientifiques du 20ème siècle ont poursuivi ces polémiques pour aboutir à figer le doute dans le combat des virus par des thérapies vaccinales ou médicamenteuses favorables au développement d’une puissante industrie chimique. Or dès le milieu du 19ème siècle, une réponse claire, simple et dépourvue d’ambiguïté a été apporté, à savoir que les virus n’existent pas et ne sont pas des organismes vivants, des êtres vivants. De nombreux travaux de savants de cette époque ont apporté des réponses variées, circonstanciées, convaincantes malgré l’usage d’outils d’investigations relativement limités. Durant des dizaines années, lors de minutieuses observations, ces savants ont compilé de nombreuses données qu’ils présentaient, interprétaient lors de congrès, de réunions, de rencontres dans le but d’une compréhension commune de leurs travaux respectifs. Au 21ème siècle, le développement du traitement des données a atteint un développement tel que ce qui demandait des années de traitements humains se réalise en quelques secondes, minutes, voire quelques heures. Bref, la recherche de virus et la démonstration de leur existence n’a toujours pas abouti. Par contre, la fabrication de produits variés destinés à les combattre n’a jamais été aussi vive et… inefficace. A l’appui de ces quelques remarques, il y aurait lieu de relire les savants du 19ème siècle et leurs œuvres qui représentent un patrimoine scientifique inégalé dans l’histoire de l’humanité, à condition de les lire. Des auteurs comme Claude Bernard, Berthelot, Pasteur, Schwann, Schroeder, Dush, Antoine Béchamp et une foultitude d’autres empilés, oubliés sur les étagères des académies et bibliothèques scientifiques. Toutes ces études ont contribué à l’essor des sciences et plus singulièrement la biologie. Au travers de leurs travaux, aucun de ces nombreux savants n’est allé jusqu’à imposer la certitude de l’existence des virus, encore plus vivants, malgré l’usage du mot virus. Le plus fécond d’entre eux semble être Béchamp et sa théorie des microzymas qui semble remonter actuellement à la surface des profondeurs des océans de papiers en changeant de nom avec les nanob ou nanobactérie. Mais cette théorie, qui s’oppose à près de 170 ans d’intoxication de virus divers et variés, va avoir beaucoup de mal à renaître, surtout devant une industrie chimique en mal de gros profit, essentiellement basée sur une ignorance.