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Les classes possédantes mentent quand elles disent combattre la pandémie covid et ne veulent surtout pas se débarrasser de cet extraordinaire moyen de destruction de la révolution sociale

24 septembre 2022, 05:31, par Florent

Rapport de The Lancet sur la pandémie et les politiques soi-disant contre elle :

Au 31 mai 2022, il y avait 6,9 millions de décès signalés et 17,2 millions de décès estimés dus au COVID-19, comme indiqué par l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) ; tout au long du rapport, nous nous appuyons sur les estimations de l’IHME de infections et décès ; notez que l’IHME donne une fourchette estimée, et nous nous référons à l’estimation moyenne). Ce nombre de morts stupéfiant est à la fois une tragédie profonde et un échec mondial massif à plusieurs niveaux. Trop de gouvernements n’ont pas respecté les normes fondamentales de rationalité et de transparence institutionnelles, trop de personnes - souvent influencées par la désinformation - ont manqué de respect et protesté contre les précautions de santé publique de base, et les grandes puissances mondiales n’ont pas collaboré pour contrôler la pandémie.
Les multiples échecs de la coopération internationale comprennent (1) le manque de notification en temps opportun de l’épidémie initiale de COVID-19 ; (2) des retards coûteux dans la reconnaissance de la voie d’exposition aéroportée cruciale du SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, et dans la mise en œuvre de mesures appropriées aux niveaux national et mondial pour ralentir la propagation du virus ; (3) le manque de coordination entre les pays concernant les stratégies de suppression ; (4) l’incapacité des gouvernements à examiner les preuves et à adopter les meilleures pratiques pour contrôler la pandémie et gérer les retombées économiques et sociales d’autres pays ; (5) le déficit de financement mondial pour les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire (PRITI), selon la classification de la Banque mondiale ; (6) l’incapacité à garantir un approvisionnement mondial adéquat et une distribution équitable des produits de base essentiels, notamment les équipements de protection, les diagnostics, les médicaments, les dispositifs médicaux et les vaccins, en particulier pour les PRITI ; (7) le manque de données opportunes, précises et systématiques sur les infections, les décès, les variantes virales, les réponses du système de santé et les conséquences indirectes sur la santé ; (8) la mauvaise application des niveaux appropriés de réglementation en matière de biosécurité dans la période qui a précédé la pandémie, ce qui soulève la possibilité d’une épidémie liée au laboratoire ; (9) l’incapacité à lutter contre la désinformation systématique ; et (10) le manque de filets de sécurité mondiaux et nationaux pour protéger les populations vulnérables. variantes virales, réponses du système de santé et conséquences indirectes sur la santé ; (8) la mauvaise application des niveaux appropriés de réglementation en matière de biosécurité dans la période qui a précédé la pandémie, ce qui soulève la possibilité d’une épidémie liée au laboratoire ; (9) l’incapacité à lutter contre la désinformation systématique ; et (10) le manque de filets de sécurité mondiaux et nationaux pour protéger les populations vulnérables. variantes virales, réponses du système de santé et conséquences indirectes sur la santé ; (8) la mauvaise application des niveaux appropriés de réglementation en matière de biosécurité dans la période qui a précédé la pandémie, ce qui soulève la possibilité d’une épidémie liée au laboratoire ; (9) l’incapacité à lutter contre la désinformation systématique ; et (10) le manque de filets de sécurité mondiaux et nationaux pour protéger les populations vulnérables…

Il existe cinq piliers fondamentaux pour lutter avec succès contre les maladies infectieuses émergentes. Le premier est la prévention : arrêter une épidémie avant qu’elle ne se produise en prenant des mesures efficaces pour empêcher l’émergence d’un pathogène nouveau et dangereux. Le second est le confinement : pour éliminer la transmission de la maladie des individus infectés aux individus sensibles après l’apparition d’une maladie. Le troisième est celui des services de santé : pour sauver la vie des personnes atteintes de la maladie et assurer la continuité des autres services de santé, y compris ceux de santé mentale. Le quatrième est l’équité : veiller à ce que les charges économiques et sociales soient partagées au sein de la population et à ce que les groupes et individus les plus vulnérables soient protégés. Le cinquième est l’innovation et la diffusion mondiales : développer, produire…

La prosocialité était au plus bas dans de nombreuses sociétés au cours des 2 dernières années. Dans de nombreux pays, la confiance sociale dans le gouvernement et les autres autorités parmi les citoyens a nettement diminué au cours des deux dernières décennies (et au cours des quatre dernières décennies aux États-Unis) — lié, au moins en partie, à l’augmentation persistante des inégalités socio-économiques. Dans les endroits où la confiance sociale est faible, les comportements prosociaux sont rejetés par de nombreux groupes au sein de la société. De plus, au niveau national, de nombreux gouvernements se sont montrés indignes de confiance et inefficaces.

Au niveau mondial, la coopération entre les gouvernements a été sapée par la rancœur des grandes puissances. Cette hostilité a gravement affaibli la capacité des institutions internationales telles que l’OMS à assumer les rôles qui leur sont assignés dans la riposte à la pandémie.

Les pays de la région du Pacifique occidental ont généralement adopté des stratégies de suppression et ont largement réussi à les mettre en œuvre. Ces stratégies comprenaient deux phases : de l’épidémie fin 2019 jusqu’au début 2022, lorsque la variante omicron est apparue pour la première fois ; puis à partir de début 2022 dans le cadre de la vague omicron. Au cours des 2 premières années, la région a généralement supprimé la transmission du virus, au cours de laquelle elle a mis en œuvre une campagne de vaccination en 2021. Avec l’émergence de la variante omicron, la plupart des pays de cette région sont ensuite passés de la suppression à l’atténuation en adoptant une politique connue vivant avec le virus, comptant sur une couverture vaccinale élevée pour maintenir des taux de mortalité relativement bas. Seule la Chine a maintenu une stratégie de suppression pendant la phase omicron…

https://translate.google.fr/translate?u=https://www.thelancet.com/commissions/covid19

Le rapport souligne que tous les pays riches ont refusé la stratégie de suppression du covid…

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