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Un Univers infini ?

10 décembre 2022, 20:14, par JFP/Jean-François Pouliquen

▬Bonjour Mr Paris.
▬J’avais écrit ce qui suit en juillet 2022, par rapport à vos articles, mais jamais envoyé. Comme j’ai fait des remarques sur un autre article : "Supercordes, multivers, inflation : la physique moderne est-elle devenue trop métaphysique," vous me proposez de lire celui-ci que j’avais déjà lu. Voici donc mes remarques vieilles de six mois :
▬Un univers infini, n’aurait pas de sens par rapport aux notions d’expansion de l’univers et du Big-bang et donc de naissance, de plus cela élimine d’autres univers possibles. Même si la vraie taille de notre vrai univers est largement plus grande que son horizon par rapport à nous la terre, qui est un vrai centre obligatoire, car nous partons toujours de cette terre, pour voir autour de nous, dans la limite de ce qui est visible et détectable, et voir au plus lointain de nous, qui est le passé, mais derrière cette limite de vision infranchissable, l’univers continue, sans pour autant connaître sa vraie dimension. Notre vrai univers peut s’étendre à des milliards de fois plus grand que ce que nous détectons autour de nous à une distance limite. Et puis philosophiquement, l’infini ne naît pas de quelque chose, car il est infini par nature même, et donc l’infini ne se créer pas, il est ce qu’il est, sans besoin d’événement spécifique. On peut considérer que l’espace est infini, mais ce mot espace est dévié de sa signification originelle, car espace sous-entend temps, et donc espace-temps, qui devient un mot composé, et qui engendre forcément ce qu’il y a dedans son vide. Ce mot espace, ne veut plus rien dire, et pourtant à l’origine c’était un contenant et donc un volume, mais l’espace est devenu un contenu, qui est exactement l’inverse de sa signification. Le mot univers est du même ordre d’idée, car que veut dire univers ? Cela veut dire tout ce qui existe d’après une définition simple, mais le problème de cette petite définition, ne veut rien dire non plus, car pour aller plus loin que les limites détectables de de cette portion d’univers où nous sommes, nous ne savons pas ce qu’il y a après et donc ce qui existe vraiment après... La logique de dire tout ce qui existe, n’a pas plus d’intérêt et de signification, car ce qui n’est pas vérifiable même par des équations, ne devrait pas exister.
▬Il y a une complexité en cosmologie, à définir des notions avec les mots traditionnels, comme espace, univers... Donc le mot univers n’est pas plus significatif que espace. L’espace est normalement une étendue indéfinie qui contient et entoure les choses, c’est donc un volume et non un contenu, mais depuis Einstein, cet espace est même devenu courbe suivant les objets qu’il contient, ce qui est absurde, car parle t-on de volume courbe ? Mais l’espace qui à l’origine est un volume est même devenu le volume occupé par quelque chose, mais ce quelque chose, est indéfinissable aussi bien en cosmologie qu’en physique quantique, quand on parle du vide de l’espace, et d’ailleurs en physique quantique, on ne dit même plus espace, car il existe un vide quantique, et ce vide spécifique va dans les mêmes absurdités que le mot univers ou espace. Le problème avec ces définitions et cette quantique, est que nous ne savons pas si le vide quantique envahit tout l’univers ou l’espace qui serait le notre, du moins sa partie détectable. Si on considère d’autres univers que le notre, l’espace entre ces univers différents serait-il constitué aussi du même vide quantique ? Généraliser l’espace en cosmologie est aussi absurde que généraliser le vide quantique. Avant Einstein on parlait d’un éther qui était le contenu de l’espace, mais ce mot magique qui avait une vraie définition, s’est perdu, car la relativité restreinte à considérée que la lumière n’avait pas de support pour voyager. Ether un mot très clair, mais où il fallait définir les ingrédients ou des caractéristiques de ce qu’était cet éther. Il aurait été préférable de définir chaque éther suivant chaque physique...
▬Je pense qu’il y a une totale contradiction dans le modèle standard cosmologique, car on nous dit que l’univers ne part pas d’un point ou d’un centre, et pourtant en remontant le passé on arrive à ce fameux Big-bang qui est forcément un point ou centre de départ. Comment peut-on considérer l’univers et sa grandeur, car nous n’avons rien comme indice, qui serait une densité de galaxies plus forte ou plus faible dans une direction donnée. En fait ce Grand Monsieur Lemaître c’est simplement planté avec son atome primitif, car comment ne pas avoir de centre de notre univers et avoir cet atome primitif symbolisant le départ de notre univers avec forcément un centre. Ceci est bien contradictoire, car plus on remonte dans le passé, et plus la densité de matière ou autre devient plus dense et chaude et pourtant dans ce modèle standard cosmologique ,on nous dit bien que l’univers ne part pas d’un point fictif ou d’un centre. Pour résoudre cette incohérence, cela est très très simple, car il n’y a pas eu un Big-bang, mais des Big-bangs simultanés. Donc la taille de notre univers est sans rapport avec la date de sa naissance, comme aussi la vitesse de la lumière. Voici une phrase de Wikipédia : "Le Big Bang n’est pas une explosion, il ne s’est pas produit « quelque part »"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Univers
▬Donc si le Big-bang ne s’est pas produit quelque part, c’est que forcément, il s’est produit à différents endroits du cosmos. Il n’y a pas un centre mais des centres de big-bang. Ceci s’explique très bien, car nous avons et nous pouvons connaître les endroits de ces Big-bang, que sont les centres de bulles de vide sans matière, qui sont les plus grandes structures de notre univers réduit à sa détection, car les galaxies s’alignent en filaments entourant ces bulles de vide sans matière. Le centre de chaque bulle de vide sans matière est un big-bang, et donc nous avons une preuve directe de ces endroits de Big-bang, où justement il n’y a plus rien de détectable, car la matière est totalement absente dans ces bulles de vide cosmologique. C’est un peu comme une mousse, mais où la matière ne définie pas une sphère de bulle de savon, mais des filaments de galaxies, définissant ces bulles de vide cosmologique. Quand vous êtes à l’intérieur de cette mousse, vous ne pouvez pas savoir que c’est une mousse, car on ne voit pas la profondeur de champ. Ainsi les galaxies ne sont pas éparpillées au hasard, mais suivent ces chemins de filaments d’un certain volume, et quand des filaments se croisent pour une même bulle de vide, cella nous donne des amas de galaxies. Dire que l’univers est homogène et isotrope est en réalité une erreur, car nous le percevons comme homogène si on oublie les profondeurs de champs, que sont simplement les distances. Certaines images vraies galaxies, sont en réalité, un montage pour voir différentes profondeurs de champ et donc de distance, et cela fausse l’analyse des profondeurs, car on mélange des galaxies proches, et des galaxies lointaines.
▬Mais avant d’avoir ces bulles de vide sans matière, entourées de filaments de galaxies, qu’est-ce qu’il y avait avant ces structures les plus grandes du cosmos ? Eh bien le centre de ces bulles était des anciens trous noirs géants, pour ne pas dire monstrueux, car les seuls rescapés d’un précédant univers ne peux être que des trous noirs géants, sans rapport avec les trous noirs des centres de galaxies. Quand toutes les étoiles éclatent ou s’éteignent, cette matière d’étoile, va finalement arrivée aux trous noirs existants qui ne feront que grossir au fil du temps. Ainsi les trous noirs attirent tout, même les autres trous noirs qui fusionnent. Dans cette phase sans la moindre lumière, et donc dans le noir, toute matière finira par être volée au cosmos par les trous noirs d’une époque ou phase, où ne restera que des trous noirs géants et la gravitation du vide cosmologique. Cette phase ne se compte pas en dizaines de milliards d’années, mais sûrement en milliards de milliards d’années. Au fur et à mesure que la matière disparaît, la gravitation est aussi en dégradation en diminuant de force, mais permet toujours aux trous noirs d’exister, ainsi l’expansion s’arrête où seule la gravitation reste et fait son travail de regroupement, même si cette gravitation diminue aussi. L’expansion c’est arrêtée, et c’est l’inverse qui se produit car même si la gravitation à diminuée, elle permet toujours de rassembler de qui reste, et en l’occurrence que des trous noirs géants. C’est donc un BIG-CRUNCH, où l’univers rétrécit plutôt que s’agrandir. Il arrive à un moment où la gravitation ne permet plus de garder les trous noirs en vie, car les trous noirs géants se sont rapprochés et donc la gravitation dans ce volume rétrécit devient presque inexistante, et ces trous noirs géants s’évaporent, mais cette évaporation est sans comme une mesure une vitesse largement plus grande que la vitesse lumière, et on peut considérer, que ces évaporations soient des éclatements ou explosions de trous noirs, livrant au cosmos ce qui les composaient. Pour le redire encore l’univers ne vient pas d’un seul Big-bang mais d’un multi-Big-bang, et cette façon de voir les choses, est que la chaleur ne vient pas d’un atome primitif hyper chaud, mais ce multi-Big-bang se fait à froid, et donc que c’est les rencontres de ces poussières de matière par des trous noirs géants qui est l’origine de ces magmas et donc de ces rencontres en sens inverses de ce qui est expulser. Cela nous donne comme conclusion que l’univers est recyclable, et ce qu’il a perdu ce trouvera dans d’autres univers, mais il ne faut pas considérer dans cette vision que l’horizon cosmique depuis notre terre, mais un ancien univers en cours d’implosion de plusieurs milliards de fois plus grand, et cette fausse explosion n’est liée qu’a un manque de gravitation plus les trous noirs géants se rapprochent entre eux. Les rencontres des poussières de particules venant des trous noirs géants vont se heurter entre elles donnant des sorte de fils de rencontres, et c’est de là que commence le départ d’un nouvel univers. L’analyse du fond diffus des ondes électromagnétiques de ces rencontres de poussière de particules, ne peut être que homogène, car les photons qui se créent et se rencontrent, vont changer légèrement de directions, rendant une homogénéité de l’ensemble au fil du temps.
▬Cette hypothèse n’est as si farfelue que l’on pourrait croire, car pour avoir un volume d’espace très grand, forcément la date de naissance de notre univers ne part pas d’un centre mais de plusieurs centres, c’est aussi simple que cela, c’est à dire que le big-bang devient multi-Big-bang, ainsi la taille réelle de notre univers n’est pas calculable, mais on comprend que son horizon n’est lié qu’à la distance qui nous sépare de lui par la contrainte de la vitesse lumière, car derrière l’horizon l’univers continue, sans même savoir si il y a déformation de densité et d’homogénéité, mais il est certain qu’il n’y a pas une rupture franche, ainsi la continuité continue dans un degré très faible de modification.
▬Dans ce modèle que j’expose qui est le multi-Big-bang, l’énergie noire est aussi une invention humaine liée à cette expansion, car en réalité une force négative combattant la gravitation n’existe pas. Il faut remplacer cette énergie noire, par encore de la gravitation supplémentaire qui viendrait du cœur des anciens trous noirs géants, et qui continuerai de se diffuser après le multi-Big-bang. Ainsi les filaments de galaxies s’écartent de plus en plus du cœur sans matière, mais simplement ce cœur diffuse encore des gravitons, car les cœurs de ces anciens trous noirs géants continuent à diffuser de la gravitation, sans diffuser de la matière, ce qui donne cet effet d’avoir une force contraire à la gravitation, mais cette force est la même que la gravitation.
▬Notre univers ne peut pas être infini si grand soit t-il, et l’espace qui se créer dont on parle, n’est qu’un volume qui s’agrandit sans cesse sous l’effet de ces cœurs d’anciens trous noirs géants qui n’ont pas fini d’épuiser et d’émettre les gravitons de la gravitation qui se répand. Quand ces cœurs de gravitons auront terminés d’émettre, les cœurs de ces anciens trous noirs géants n’existeront plus, et le processus s’inversera, donc l’expansion s’arrêtera, et la gravitation reprendra ses droits. La matière ne se créait pas du vide qui grandit, mais un quota de briques fondamentales de charges opposées sont les constituants des particules élémentaires, et sont aussi ce que l’on appelle des particules virtuelles. Les gravitons sans sans rapport avec les briques de base. La mécanique trouvée semble très curieuse, mais elle répond à des tas d’énigmes cosmologiques comme quantiques. Le graviton n’a pas de charge, ce qui fait que l’espace dont on parle tout le temps n’a pas de charge, mais simplement est une vraie force cinétique, qui d’ailleurs anime tout ce qui semble bouger, ainsi Einstein s’est trompé en disant que la lumière n’avait pas besoin de support.
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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