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Supercordes, multivers, inflation : la physique moderne est-elle devenue trop métaphysique

3 février 2023, 20:18, par JFP/Jean-François Pouliquen

20230203. Bonjour Mr Paris. je continue sur les PDF de Monsieur Jean-Pierre Chabert.
▬Phases relevées dans le troisième PDF de Jean-Pierre Chabert.
http://jeanpierre.chabert.free.fr/Etudes/Metriques.pdf
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Nous nous proposons d’étudier ici les métriques susceptibles de traduire ce que nous savons de la gravitation, interprétée comme une courbure de l’espace-temps. Nous nous plaçons dans la situation la plus simple : celle d’un champ gravitationnel statique (indépendant du temps), à symétrie sphérique, produit par un corps central supposé ponctuel et immobile. Nous garderons en tête l’exemple du système solaire, avec son étoile centrale massive et son cortège de planètes de masses négligeables par rapport à celle du Soleil. Nous porterons une attention particulière à la métrique de Schwarzschild et à la métrique triviale de Ni, et nous nous attacherons à faire apparaître le plus clairement possible les atouts de ces deux métriques, dans la recherche d’une meilleure compréhension du problème de la gravitation, supposé à priori non résolu.
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▬Les premières phrases du PDF, sont curieuses, car il y a désaccord total avec cette notion de statique pour l’espace, car un "champs gravitationnel statique" n’existe pas et ne peut pas être !!! Même si Einstein prévoyait que cet éther n’existait plus dans la relativité restreinte, cet éther revient en force dans la relativité générale, mais revenu il devient statique, comme une substance immobile sans matière et transparente. Cette façon de voir cet éther de l’espace et du temps ne convient pas, car une substance immatériel sans grain n’existe pas, et n’est pas plus un fluide sans grain. Pour le redire, une substance immatériel sans grain la composant est impossible !!! L’espace est forcément granulaire et non statique, ce qui revient à dire que les gravitons sont dynamiques ; mais quand ils se percutent, il n’y a pas cette notion de chaleur, car ces gravitons sont sans charge, et donc le verbe même de percuter est faux, car ces gravitons n’agissent pas comme un gaz, car ils se traversent les uns dans les autres, sans vraiment que leur parcours soit modifié.
▬Dans cette phrase on prend un corps sphérique statique posé dans l’espace, mais on nous dit qu’il est PONCTUEL et immobile. Pour l’immobilité pas de problème, mais pour la notion de PONCTUEL, cela ne convient pas du tout, car ce mot utilisé va dans le sens de point et non de temps, et donc un corps sans volume n’existe pas, d’autant que l’on dit après coup dans l’exemple pris, que cet objet ponctuel est notre soleil.
▬Si la métrique de Schwarzschild peut être connue, car cette personne de Schwarzschild est connu, par contre la métrique triviale de NI, est inconnue, et en cherchant qui est cette personne de Ni, et bien rien trouvé sur le web.
▬De plus si l’objet à mettre dans l’espace est vraiment ponctuel, c’est à dire un point dans dimension sans volume, alors il n’y aura aucun champ de déformation gravitationnel. La raison est que le graviton dont on ne connaît même pas son volume serait forcément plus grand que ce point ponctuel, et ce graviton traverserait ce point ponctuel comme si de rien n’était. Il en va de même si on suppose une substance immatériel, car un point ponctuel posé comme un repère dans cette substance sans grain ne donnerait pas plus d’effet. Les mots ont une très grandes importance, plus que les équations qui viennent après. Le mot ponctuel va bien dans le sens de point sans dimensionnent et non dans le sens de la ponctualité, car on élimine le temps. Si on imagine un repère sans dimension dans l’espace, ce repère n’a aucune incidence par rapport à la gravitation, et ce repère, ne créerait pas un champ de déformation gravitationnelle.
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2 Coordonnées sphériques
3 Métriques diagonalisables
4 Métriques isotropes : définition
5 Métriques radiales : définition-
6 Métriques homogènes : -définition
7 Métriques symétriques : définition
8 Métriques pré-relativistes : -définition
9 Géodésiques en coordonnées polaires
10 Géodésiques en coordonnées localement cartésiennes
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▬Tous ces chapitres sont des formules mathématiques avec quelques commentaires, et rien à dire.
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11 L’expérience de POUND et REBKA
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Cette expérience était destinée à répondre à la question : quel est l’effet de la gravitation sur la lumière ? Modi-e-t-elle son énergie, son impulsion, sa fréquence, sa longueur d’onde ? Cette question s’est posée avec une acuité particulière après la parution de la relativité générale, mais elle se posait déjà avant.
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Soyons encore plus précis. Nous avons dit que le "chronomètre" utilisé par nos physiciens était constitué d’atomes ayant une fréquence de vibration propre. Cette fréquence peut-elle varier quand on transporte ces atomes du pied de la
tour jusqu’à son sommet, leur énergie potentielle a varié pendant le parcours, donc leur fréquence propre aussi, car la fréquence est reliée à l’énergie, non seulement dans le cas de la lumière, mais pour tous
les autres phénomènes ondulatoires. La gravité perturbe donc nécessairement les chronomètres et autres horloges.
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12 Récapitulation sur le critère de SCHILD
Pour résoudre ce paradoxe, nous avons proposé une solution mathématiquement très simple : l’observateur local et l’observateur distant utilisent des règles et des horloges de référence qui sont différentes, et dont le rapport dépend du potentiel gravitationnel.
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▬Quelques phrases de ce chapitre 11 et 12, qui confirment bien que les FRÉQUENCES DES ATOMES changent fonction du référentiel, que cela soit en prenant en compte la vitesse ou les effets gravitationnels, voir même les deux, pour le cas des GS. Ce que j’avais trouvé, existe déjà !!! Est-ce frustrant ? Eh bien non, car on peut rivaliser avec les gens des sciences ayant fait des hautes études scientifiques, sans connaître pour autant la moindre équation. J’ai trouvé enfin dans ces PDF de ce Monsieur Jean-Pierre Chabert (inconnu), une confirmation de ce que j’avançai. Ce que l’on peut reprocher à tous ces scientifiques, c’est de ne pas expliquer ce qui se passe physiquement, ainsi les coefficients de Lorentz d’après une petite formule mathématique qui d’ailleurs n’est même pas de lui , mais d’un certain Larmor, sur le temps et les longueurs, s’expliquent facilement, car si on nous disait simplement que les fréquences des atomes changent fonction des référentiels, on comprendrai que les horloges ne battent plus de la même façon, suivant les référentiels. Une horloge en bas d’une tour, et une horloge en haut de cette même tour, donnent des référentiels différents, qui est le cas de la gravitation sans même parler de vitesse liée à la relativité restreinte.
▬Monsieur Robert Paris, vous ne m’avez pas répondu, quand je disais que les fréquences des atomes changeaient fonction des vitesses ou des champs gravitationnels, eh bien dans ce PDF, vous avez une confirmation de mes dires, et j’en suis très heureux, car des raisonnements simples amènent à des simplicités pour comprendre les physiques.
▬Maintenant cela n’explique pas pour autant pourquoi ces fréquences d’atomes changent, mais on peut comprendre que l’espace-temps de Einstein est un milieu dynamique et non statique, et plus on va vite plus on affronte ce milieu dynamique, qui fait déformer les fréquences des atomes, et pour les effets de la gravitation, eh bien cet espace-temps traverse les objets dans toutes les directions, et ces objets du cosmos absorbent une partie de cet espace dynamique, ce qui fait qu’entre deux objets du cosmos, il y a une sorte de dépression, ainsi l’attraction de Newton, ne sont que les effets de cet espace vivant, et donc les objets du cosmos déforment bien l’espace et son vide sans qu’il soit virtuel, car le graviton ne fait pas partie du bestiaire de la physique quantique, et ce simplement parce qu’il n’a pas de charge.
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21 L’effet Einstein
Un chronomètre transporté dans un lieu où la gravité est plus forte va ralentir ; inversement, transporté dans un lieu ou la gravité est plus faible, il va accélérer. Par exemple, imaginons deux chronomètres parfaitement synchronisés à la surface de la Terre. Supposons que le premier soit placé à bord d’un satellite artificiel, puis que ce satellite soit placé en orbite à haute altitude (où la gravité est plus faible) : il va prendre de l’avance par rapport au second, resté au sol. Ce phénomène est connu sous le nom d’’effet Einstein". Il est vérifié tous les jours, grâce à la technologie GPS : pour obtenir son positionnement précis à la surface de la Terre, le boîtier GPS émet un signal qui est capté par plusieurs satellites ; ceux-ci évaluent l’instant de la réception avec une grande précision, à l’aide de leurs chronomètres embarqués. Le calcul de la position exacte nécessite une excellente synchronisation des chronomètres embarqués avec les chronomètres au sol, synchronisation qui est perturbée par la gravité, ce qui est une cause d’erreurs systématiques.
Il est donc nécessaire de corriger ces erreurs, sans quoi le positionnement GPS donnerait des résultats fantaisistes.
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▬L’effet Einstein n’est d’autre que l’effet Lorentz qui est lui même rien d’autre que l’effet de Larmor, qui n’est rien d’autre que les déformations des fréquences des atomes suivant les référentiels. Si ces effets sont expliqués mathématiquement, ils ne le sont pas pour autant physiquement, et c’est bien les problèmes des formules mathématiques qui aboutissent à des vérités, sans pour autant comprendre ce qui se passe physiquement. Cela est aussi le problème de la physique quantique où tout n’est presque qu’imagination, bien trop grande qui épouse l’espace de l’univers...
Cordialement
JFP/Jean-François Pouliquen

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