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L’explosion des variants de covid est-elle spontanée ou provoquée par les vaccins et traitements antiviraux ?

19 août 2021, 07:16, par Florent

Montagnier et Perez :

« Il existe des bases communes et convergentes qui permettent de conclure à l’inclusion de parties d’origine étrangères dans le génome du coronavirus. Il existe aujourd’hui des technologies permettant de réaliser cette manipulation dénommée CRISPR/ARN.

1) 18 fragments d’ARN d’homologie égale ou supérieure à 80% avec des rétrovirus humains ou simiens ont été trouvés dans le génome COVID_19.

2) Ces fragments ont une longueur de 18 à 30 nucléotides et ont donc le potentiel de modifier l’expression du gène du Covid19. Nous les avons nommés éléments informatifs externes ou EIE.

3) Ces EIE ne sont pas dispersés au hasard, mais sont concentrés dans une petite partie du génome COVID_19.

4) Parmi cette partie, une région longue de 225 nucléotides est unique à COVID_19 et Bat RaTG13 et peut discriminer et distinguer formellement ces 2 génomes.

5) Dans la pente décroissante de l’épidémie, cette zone de 225 bases et la région du Spike de 1770 bases, présente un taux anormalement élevé de mutations/délétions (cas de 44 patients de l’état de WA Seattle, épicentre d’origine aux USA).

6) Dans l’analyse comparative des deux gènes SPIKES de COVID_19 et Bat RaTG13, nous notons deux faits anormaux : • L’insertion de 4 acides aminés PRRA contigus au milieu de SPIKE (nous montrons alors que ce site était déjà un site de clivage optimal AVANT cette insertion). • Un ratio anormal de codons synonymes / codons non synonymes dans la seconde moitié de SPIKE.

Enfin, nous montrons l’insertion dans cette région SPIKE de 1770 bases d’un EIE significatif de Plasmodium Yoelii et d’un éventuel EIE HIV1 avec une mutation Spike cruciale.

A travers les 14 faits relatifs à chacun des 14 paragraphes de cet article, tout converge vers d’éventuelles manipulations de laboratoire (Note de fin ci-dessous) qui ont contribué à des modifications du génome de COVID_19, mais aussi, très probablement bien plus ancien du SRAS, avec peut-être ce double objectif de conception vaccinale et de « gain de fonction » en termes de pénétration de ce virus dans la cellule. Cette analyse, faite in silico, est dédiée aux vrais auteurs du Coronavirus COVID_19. Il n’appartient qu’à eux de décrire leurs propres expériences et pourquoi cela a tourné au désastre mondial : 650 000 vies (au 26 juillet 2020), plus que celles emportées par les deux bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki. Nous, les survivants, devons tirer les leçons de cette grave alerte pour l’avenir de l’humanité. Nous exhortons nos collègues scientifiques et médecins à respecter les règles éthiques exprimées par le serment d’Hipocrate : ne pas nuire, jamais et jamais !

Note de fin : Pourquoi le COVID-19 pourrait-il provenir de manipulations en laboratoire ?

Les 4 preuves suivantes concernent des différences vis-à-vis du SRAS soit communes à COVID-19 et chauve-souris RaTG13, soit des faits différenciant radicalement ces 2 séquences dont on prétend que la première (COVID-19) provient d’une évolution naturelle de la seconde (bat RaTG13). Nous avons classé ces 4 preuves par ordre croissant d’importance selon notre point de vue.

1) Quatre EIE distinguent formellement les génomes de COVID-19 et de chauve-souris RaTG13 de tous les autres génomes du SRAS ou de chauves-souris. Cependant, leur niveau d’homologies VIH/SIV apparaît beaucoup plus affirmé pour le COVID-19 que pour le RaTG13 de chauve-souris, comme si ces fragments EIE avaient été récemment « réinjectés » dans le génome du COVID-19. ==> voir & 7, (figures 4 et 5).

2) les délétions naturelles (USA WA état de Seattle) s’appliquent en priorité aux encarts EIE (HIV Kenya etc..). ==> voir Partie III complète et Figure 12 au §13.

3) Mutations de codons synonymes au sein de la région de 1770 bases du Spike, qui simulent une évolution naturelle du RaTG13 de chauve-souris vers COVID-19 tout en maintenant l’optimalité obtenue dans les valeurs d’acides aminés, probablement à partir de « gain de fonction »

https://zenodo.org/record/3975578#.YR0URfk6_ct

« Cet article montre comment 16 fragments (gènes Env Pol et Integrase) de différentes souches, tous deux diversifiés et très récent, des rétrovirus HIV1, HIV2 et SIV sont très probablement présents dans le génome de COVID- 19. Parmi ces fragments, 12 sont concentrés dans une très petite région du génome COVID-19, longueur moins de 900 bases, soit moins de 3% de la longueur totale de ce génome. De plus, ces empreintes sont positionné dans 2 gènes fonctionnels de COVID-19 : les gènes orf1ab et S spike. En résumé, voici les deux faits principaux qui contribuent à notre hypothèse d’un génome partiellement synthétique : région contiguë représentant 2,49% de l’ensemble du génome COVID-19 dont 40,99% est composé de 12 divers fragments provenant de diverses souches de rétrovirus VIH SIV. En revanche, ces 12 fragments dont certains semblent concaténés. Notamment, la partie rétrovirale de ces régions, qui est constituée de 8 éléments de diverses souches VIH1, VIH2 et SIV couvre une longueur de 275 bases contiguës de COVID-19. La durée cumulée de ces 8 SIV VIH éléments représente 200 bases. Par conséquent, le taux de densité du VIH SIV de cette région de COVID-19 est 200/275 = 72,73 %, ce qui est considérable. De plus chacun de ces éléments est composé de 18 ou plus de nucléotides et peut donc avoir une fonction. Ils sont appelés éléments informatifs exogènes. Une grande partie de ces 16 EIE existait déjà dans les premiers génomes du SRAS dès 2003. Cependant, nous démontrer comment et pourquoi une nouvelle région comprenant 4 éléments informatifs exogènes VIH1 VIH2 radicalement distingue toutes les souches COVID-19 de toutes les souches SRAS et Bat. Nous recueillons ensuite des faits sur les origines possibles de COVID_19. Nous avons particulièrement analysé ce petit région de 225 bases commune à COVID_19 et batRaTG13 mais totalement absente dans toutes les souches du SRAS. Ensuite, nous abordons le cas des génomes de chauve-souris présumés à l’origine de COVID_19. Dans la souche de chauve-souris Coronavirus RaTG13 isolé en 2013, puis séquencé en 2020, le profil d’homologie pour HIV1 Kenya 2008 fragment est identique à celui de COVID_19. Enfin, nous avons étudié l’évolution génétique la plus récente des souches COVID_19 impliquées dans le monde épidémie. Nous avons trouvé une occurrence significative de mutations et de délétions dans la région 225b. Sur l’échantillonnage des génomes, nous montrons enfin que cette région clé 225b de chaque génome, riche en EIE, évolue beaucoup plus rapide que le génome entier correspondant. L’analyse comparative des gènes SPIKES de COVID_19 et Bat RaTG13 démontre deux faits anormaux : d’une part, l’insertion de 4 acides aminés contigus au milieu de SPIKE, d’autre part, une distribution anormale de codons synonymes dans la seconde moitié de SPIKE. Enfin l’insertion dans cette région d’un EIE provenant d’un gène de Plasmodium Yoelii est démontrée, mais semble surtout expliquer la « stratégie » poursuivie en ayant modifié « artificiellement » le rapport des synonymes codons / codons non synonymes dans cette même région de 1770 nucléotides COVID_19 SPIKE. »

https://www.researchgate.net/profile/Jean-Claude-Perez/publication/341756383_COVID-19_SARS_and_Bats_Coronaviruses_Genomes_Unexpected_Exogenous_RNA_Sequences/links/5ed228b892851c9c5e666bed/COVID-19-SARS-and-Bats-Coronaviruses-Genomes-Unexpected-Exogenous-RNA-Sequences.pdf

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