Le GIGC face à la pandémie provoquée par le capitalisme
25 mars 2020, 14:03, par Pantapolis
Xi Jin Ping, 10 février 2020 : « C’est une guerre que nous devons mener tous ensemble ».
Macron, 16 mars 2020 : « Nous sommes en guerre ».
Trump, 18 mars 2020 : « Je suis un président en temps de guerre ».
Merkel, 18 mars 2020 : « C’est sérieux. Prenez également la chose au sérieux. Depuis la Réunification allemande, en fait depuis la Seconde guerre mondiale, il n’y a eu aucun défi lancé à notre pays qui ne dépende autant de notre solidarité commune ».
Berlusconi, ex-premier ministre italien, 20 mars 2020 : « Nous sommes en guerre. Restons proches de ceux qui gouvernent »
La guerre est depuis des temps immémoriaux un facteur multiplicateur, favorisant la propagation de l’épidémie. Celle-ci, en retour, engendre des guerres contre le « bouc émissaire » intérieur condamné à être éradiqué, comme les rats et les puces au temps de la peste et du typhus. Pire, les épidémies peuvent être utilisées comme arme de guerre contre « l’ennemi intérieur » ou « extérieur ».
Xi Jin Ping, 10 février 2020 : « C’est une guerre que nous devons mener tous ensemble ».
Macron, 16 mars 2020 : « Nous sommes en guerre ».
Trump, 18 mars 2020 : « Je suis un président en temps de guerre ».
Merkel, 18 mars 2020 : « C’est sérieux. Prenez également la chose au sérieux. Depuis la Réunification allemande, en fait depuis la Seconde guerre mondiale, il n’y a eu aucun défi lancé à notre pays qui ne dépende autant de notre solidarité commune ».
Berlusconi, ex-premier ministre italien, 20 mars 2020 : « Nous sommes en guerre. Restons proches de ceux qui gouvernent »
La guerre est depuis des temps immémoriaux un facteur multiplicateur, favorisant la propagation de l’épidémie. Celle-ci, en retour, engendre des guerres contre le « bouc émissaire » intérieur condamné à être éradiqué, comme les rats et les puces au temps de la peste et du typhus. Pire, les épidémies peuvent être utilisées comme arme de guerre contre « l’ennemi intérieur » ou « extérieur ».