L’Algérie en révolte, 1988-2019 : ne pas tomber dans les mêmes pièges
12 mars 2019, 12:43
La Commission européenne a appelé au respect « de la liberté d’expression et de réunion » en Algérie. La veille, le Quai d’Orsay avait expliqué souhaiter « que l’élection présidentielle [algérienne] se déroule dans de bonnes conditions. C’est au peuple algérien qu’il appartient de choisir ses dirigeants et de décider de son avenir » (1).
Que signifient réellement ces déclarations de bonnes intentions des chancelleries occidentales qui aiment tant revêtir le noble costume de « défenseur des droits de l’homme » et de la « démocratie » ?
Ne nous laissons pas illusionner par des costumes d’apparat plus dignes du carnaval de Venise que des réalités historiques. Paris, Washington ou Bruxelles se moquent totalement de la « démocratie » et du respect des « droits de l’homme » en Algérie comme dans l’ensemble des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud.
La Commission européenne a appelé au respect « de la liberté d’expression et de réunion » en Algérie. La veille, le Quai d’Orsay avait expliqué souhaiter « que l’élection présidentielle [algérienne] se déroule dans de bonnes conditions. C’est au peuple algérien qu’il appartient de choisir ses dirigeants et de décider de son avenir » (1).
Que signifient réellement ces déclarations de bonnes intentions des chancelleries occidentales qui aiment tant revêtir le noble costume de « défenseur des droits de l’homme » et de la « démocratie » ?
Ne nous laissons pas illusionner par des costumes d’apparat plus dignes du carnaval de Venise que des réalités historiques. Paris, Washington ou Bruxelles se moquent totalement de la « démocratie » et du respect des « droits de l’homme » en Algérie comme dans l’ensemble des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud.