Marseille : la guerre de classes fait rage dans l’immobilier
1er mai 2019, 13:46
L’effondrement d’un immeuble de Marseille, immeuble pourtant contrôlé par la municipalité, a été le signal d’une immense et nouvelle opération immobilière qui a commencé par des milliers d’expulsions de pauvres du centre ville sous prétexte de sécurité. Les habitants des immeubles considérés comme à risque s’est fait de force sous la menace et avec des relogements imposés ou sans relogement. Et tout cela pas simplement dans le quartier de Noailles mais dans tout le centre ville, y compris au Panier. Cela a signifié que la grande bourgeoisie a atteint un premier objectif : virer une bonne partie des pauvres de Marseille mais les trusts de l’immobilier sont encore loin d’avoir obtenu ce qu’ils veulent d’autant que le radicalisme des pauvres du centre ville est monté d’un cran !
L’effondrement d’un immeuble de Marseille, immeuble pourtant contrôlé par la municipalité, a été le signal d’une immense et nouvelle opération immobilière qui a commencé par des milliers d’expulsions de pauvres du centre ville sous prétexte de sécurité. Les habitants des immeubles considérés comme à risque s’est fait de force sous la menace et avec des relogements imposés ou sans relogement. Et tout cela pas simplement dans le quartier de Noailles mais dans tout le centre ville, y compris au Panier. Cela a signifié que la grande bourgeoisie a atteint un premier objectif : virer une bonne partie des pauvres de Marseille mais les trusts de l’immobilier sont encore loin d’avoir obtenu ce qu’ils veulent d’autant que le radicalisme des pauvres du centre ville est monté d’un cran !