Désormais, les arrêts-maladie sont encadrés et c’est bien le terme puisque c’est la cadre qui, au retour d’arrêt de l’agent, impose un « entretien », non pour s’inquiéter de sa santé, mais pour « évoquer » les motifs de l’arrêt et donc exercer une pression contre. Ils sèment ainsi la suspicion contre les personnels malades et les accusent des trous dans les effectifs, trous qu’ils organisent systématiquement en supprimant sans cesse des effectifs et en ne remplaçant pas les partants. Mais, loin de nous soigner, ces pressions font partie des causes de maladie des agents !
Ils entretiennent… le mal !
Désormais, les arrêts-maladie sont encadrés et c’est bien le terme puisque c’est la cadre qui, au retour d’arrêt de l’agent, impose un « entretien », non pour s’inquiéter de sa santé, mais pour « évoquer » les motifs de l’arrêt et donc exercer une pression contre. Ils sèment ainsi la suspicion contre les personnels malades et les accusent des trous dans les effectifs, trous qu’ils organisent systématiquement en supprimant sans cesse des effectifs et en ne remplaçant pas les partants. Mais, loin de nous soigner, ces pressions font partie des causes de maladie des agents !