Quand on en est au stade de vouloir remplacer les médecins par des systèmes experts, et de passer plus de temps, à échanger, avec des machines qu’avec des humains, qu’on demande à des machines ce qu’on doit penser, sentir et aimer, on peut vraiment dire : "le mort saisit le vif" !
Quand on en est au stade de vouloir remplacer les médecins par des systèmes experts, et de passer plus de temps, à échanger, avec des machines qu’avec des humains, qu’on demande à des machines ce qu’on doit penser, sentir et aimer, on peut vraiment dire : "le mort saisit le vif" !