Ces réformistes ne veulent pas dire que le capitalisme a atteint une crise historique. Ils ne veulent pas reconnaître que l’ère de prospérité, du moins des pays riches, est terminée et qu’il faut désormais d’autres luttes que simplement économiques, réformistes, purement corporatistes, car celles-ci ne donneront plus rien. Ils ne peuvent pas reconnaître que leurs regrets de l’époque de mai 68 provient du fait qu’en France c’était la pleine période de grande prospérité, ce qui a permis à la bourgeoisie de négocier quelques reculs avec le soutien des appareils syndicaux. Alors que le grand mouvement de mai-juin 1936, arrivé en pleine crise du capitalisme, loin d’amener des avancées réelles, a amené le fascisme et la guerre.
Ces réformistes ne veulent pas dire que le capitalisme a atteint une crise historique. Ils ne veulent pas reconnaître que l’ère de prospérité, du moins des pays riches, est terminée et qu’il faut désormais d’autres luttes que simplement économiques, réformistes, purement corporatistes, car celles-ci ne donneront plus rien. Ils ne peuvent pas reconnaître que leurs regrets de l’époque de mai 68 provient du fait qu’en France c’était la pleine période de grande prospérité, ce qui a permis à la bourgeoisie de négocier quelques reculs avec le soutien des appareils syndicaux. Alors que le grand mouvement de mai-juin 1936, arrivé en pleine crise du capitalisme, loin d’amener des avancées réelles, a amené le fascisme et la guerre.