André Brahic écrit ainsi à propos du Big Bang et du principe anthropique : « Certains n’hésitent pas à introduire dans leurs modèles des idées anthropiques : l’Homme serait le symbole, voire la finalité de cette réussite et notre existence de toute façon déterminerait le « bon » modèle cosmologique. En replaçant l’Homme au centre de l’Univers, ils ne sont apparemment pas guéris des folies du géocentrisme. »
André Brahic écrit ainsi à propos du Big Bang et du principe anthropique : « Certains n’hésitent pas à introduire dans leurs modèles des idées anthropiques : l’Homme serait le symbole, voire la finalité de cette réussite et notre existence de toute façon déterminerait le « bon » modèle cosmologique. En replaçant l’Homme au centre de l’Univers, ils ne sont apparemment pas guéris des folies du géocentrisme. »