Au moins deux milliardaires réputés proches du président Vladimir Poutine ont déjà fait les frais de ces sanctions peu après leur publication. Oleg Deripaska a vu les actions de sa société Rusal, l’un des principaux producteurs d’aluminium au monde, perdre près de la moitié de leur valeur à la bourse de Hong Kong (soit une perte de capitalisation de plus de 3,5 milliards d’euros). Cet oligarque déjà criblé de dettes pourrait se retrouver contraint d’un « défaut » sur une partie de ses créances.
Autre coup dur : la holding Renova de Viktor Vekselberg, principal actionnaire du fleuron industriel suisse Sulzer, a été obligée ce week-end de réduire sa part dans le capital du groupe (de 63 à 49 %, perdant donc le contrôle) afin de lui éviter d’être touché par ricochet par les sanctions américaines.
Au moins deux milliardaires réputés proches du président Vladimir Poutine ont déjà fait les frais de ces sanctions peu après leur publication. Oleg Deripaska a vu les actions de sa société Rusal, l’un des principaux producteurs d’aluminium au monde, perdre près de la moitié de leur valeur à la bourse de Hong Kong (soit une perte de capitalisation de plus de 3,5 milliards d’euros). Cet oligarque déjà criblé de dettes pourrait se retrouver contraint d’un « défaut » sur une partie de ses créances.
Autre coup dur : la holding Renova de Viktor Vekselberg, principal actionnaire du fleuron industriel suisse Sulzer, a été obligée ce week-end de réduire sa part dans le capital du groupe (de 63 à 49 %, perdant donc le contrôle) afin de lui éviter d’être touché par ricochet par les sanctions américaines.
Quelle réplique russe ?