Malgré la répression, le mouvement étudiant se poursuit et s’étend... 400 enseignants-chercheurs dénoncent la mise en œuvre d’une « sélection hypocrite » à l’entrée en fac, par l’intermédiaire de la plate-forme Parcoursup, et soutiennent la mobilisation étudiante. « Le gouvernement défend sa loi en invoquant une politique d’orientation destinée à pallier les échecs en premier cycle. Mais il ne donne aucun moyen pour mettre en place les cours de mise à niveau, dont il annonce unilatéralement la mise en place », écrivent-ils. Des enseignants de différentes universités ont d’ores et déjà annoncé, ces dernières semaines, qu’ils ne participeraient pas au classement des dossiers des candidats à une place en licence.
Malgré la répression, le mouvement étudiant se poursuit et s’étend... 400 enseignants-chercheurs dénoncent la mise en œuvre d’une « sélection hypocrite » à l’entrée en fac, par l’intermédiaire de la plate-forme Parcoursup, et soutiennent la mobilisation étudiante. « Le gouvernement défend sa loi en invoquant une politique d’orientation destinée à pallier les échecs en premier cycle. Mais il ne donne aucun moyen pour mettre en place les cours de mise à niveau, dont il annonce unilatéralement la mise en place », écrivent-ils. Des enseignants de différentes universités ont d’ores et déjà annoncé, ces dernières semaines, qu’ils ne participeraient pas au classement des dossiers des candidats à une place en licence.