Accueil > ... > Forum 40218

2016-2017 : forte recrudescence planétaire des séismes

16 novembre 2017, 08:10

Une nouvelle étude a démontré qu’il y a eu deux fois plus de grands tremblements de terre dans le premier trimestre de 2014 que par rapport à la moyenne depuis 1979.

"Nous avons récemment connu une période qui a vu l’un des taux les plus élevés de grands tremblements de terre jamais enregistré », a déclaré Tom Parsons l’auteur principal de l’étude, un chercheur en géophysique de de l’US Geological Survey (USGS) à Menlo Park, en Californie.

Le taux moyen des grands tremblements de terre - ceux de magnitude supérieure à 7 - a été de 10 par an depuis 1979, rapporte l’étude. Ce taux est porté à 12,5 par an à partir de 1992, puis a grimpé à 16,7 par an à partir de 2010 - une augmentation de 65 pour cent par rapport au taux depuis 1979 Cette augmentation s’est accélérée au cours des trois premiers mois de 2014 pour atteindre plus du double de la moyenne depuis 1979.

Selon Stephen Gao, géophysicien de l’université des sciences et des technologies du Missouri, toujours rapportés par MSNBC, "relativement à la période 1970-1990, la Terre a davantage tremblé au cours de ces 15 dernières années

Le site de l’USGS donne l’historique de l’activité sismique des 20 dernières années. À première lecture on est frappé par l’augmentation du nombre de tremblements de terre enregistrés qui passe de 16 000 tremblements en 1990 à 31 000 en 2008.

L’US Geological Survey, prenant en compte des tremblements de grande taille, indique qu’il y a eu 1.085 tremblements de terre dans les années 1980. Cela s’est accru dans les années 1990 d’environ 50 pour cent à 1.492 et à 1.611 de 2000 à 2009. Et l’augmentation a continué dans les années suivantes…

Une hypothèse mérite d’être soulignée : le noyau de la Terre ne se contenterait pas de générer son champ magnétique. En freinant la rotation de notre planète, via des interactions avec le manteau, il augmenterait périodiquement le nombre de grands séismes.

Une autre hypothèse doit aussi être étudiée : C’est le noyau de la Terre qui réchaufferait notre planète, du fait de son activité de centrale nucléaire, et pas l’effet de serre atmosphérique

En constatant le nombre global de séismes de puissance six (M6) ou plus entre 1980 et 1989 il y a eu une moyenne de 108,5 tremblements de terre par an, de 2000 à 2009 la planète connu un moyenne de 160,9 tremblements de terre par an : soit une augmentation de 38,9% de tremblements de terre M6 + au cours des dernières années

Pourquoi penser au noyau ? En même temps que les tremblements de terre, les volcans sont en augmentation et la température de surface augmente…

Depuis une vingtaine d’années, le nombre de volcans actifs est en augmentation et les éruptions volcaniques sont plus nombreuses.

Éruptions volcaniques en 1990 : 55

Éruptions volcaniques en 2010 : 82

Éruptions volcaniques en 2013 : 83

ET AINSI DE SUITE …

L’examen élémentaire des flux de chaleur indique que l’augmentation de la température moyenne sur la surface de la terre d’un degré correspond à l’augmentation de la température du noyau intérieur jusqu’à 15 degrés.

Imaginez un objet colossal de rayon de 1220 kilomètres qui devient lentement plus petit, plus léger et dégage la chaleur pendant des millions d’années. Qu’est-ce que cela pourrait bien être ? - Seulement un objet qui génère la chaleur par désintégration nucléaire.

La conséquence principale qui s’ensuit est la suivante : toute la chaleur produite à l’intérieur de la terre est d’origine radionique. En d’autres termes, la terre en sa totalité peut être considérée comme réacteur nucléaire rempli de combustible par la fission spontanée de divers isotopes dans le noyau intérieur extra-lourd, les produits de désintégration d’isotopes dans le manteau et dans la croûte terrestre.

L’examen élémentaire des flux de chaleur indique que l’augmentation de la température moyenne sur la surface de la terre d’un degré correspond à l’augmentation de la température du noyau intérieur jusqu’à 15 degrés.

La conséquence la plus grave d’une telle " fusion " peut être la ségrégation (basée sur la gravité) des isotopes instables dans le noyau intérieur fondu. Une telle ségrégation peut " enrichir " le carburant nucléaire dans le noyau au point de créer les conditions pour une réaction en chaîne et une explosion atomique colossale. La terre peut-elle devenir une autre " ceinture d’astéroïdes " dans le système solaire ?

Dans les régions polaires, cependant, la contribution de la chaleur solaire est minimale et c’est là où la contribution de la chaleur provenant de l’intérieur de notre planète devient évidente. La hausse de température des océans polaires et la fonte des chapeaux polaires sont donc les premiers symptômes de la surchauffe du noyau-réacteur intérieur.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.