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L’expansion de l’Univers, une preuve de la dialectique matière/espace-temps

30 décembre 2021, 12:50, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦30122021¦¦Bonjour Monsieur Patrick CAVENEL
▬J’ai changé certains mots de votre texte-article, car pour l’invention de nouveaux mots, il me semble préférable de mettre des mots composés compréhensibles, car si chacun invente ses propres mots pour donner une solution à un problème, cela devient illisible et incompréhensible :
Le mot CONDENSION est en majuscule, car je n’ai pas trouvé ce mot
▬L’INTRATEMPS devient —> Planck-temps cela veut dire 5,391247e-44 s. ou 1,616255e-35 m
▬L’INTERTEMPS devient —> inter-temps devrait être de zéro, car avec le te temps et la longueur de Planck on retrouve plus ou moins la vitesse de la lumière c qui est une constante de 299 792 458 m/s et l’inter-temps ne devrait pas exister, mais je vais démontrer que c’est faux !!!
▬Quand on parle de Planck-temps on comprend que cette durée est celle de Planck sans utiliser votre INTRATEMPS.
▬Quand on parle d’inter-temps on comprend que c’est une durée entre deux laps de Planck-temps et au lieu d’inventer un nouveau mot comme L’INTERTEMPS, j’utilise les deux mots en les séparant d’un tiret comme espace-temps et non ESPACETEMPS qui est un mot inconnu. Votre inter-temps à une valeur non nulle, car quand on utilise les sous unités de Planck, cet inter-temps n’est pas absent ou devrait avoir une valeur non de zéro.
Voici les constantes pour les calculs , mais en calculant votre inter-temps celui-ci n’est pas si nul que cela et peut être une existence, car les Planck-temps ne sont pas juxtaposés, et ce à caue des unités donnée s en physique.
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5,391247e-44 s Temps de Planck ou Planck-temps
1,616255e-35 m Longueur de Planck
299 792 458 m/s Vitesse de la lumière c dans le vide
1/1/5,391247e-44= 1,8548584399861479171701834473546e+43 est le nombre de fois le la longueur de Planck dans une seconde ou le nombre de fois le temps de Planck,dans un seconde, c’est en gros un coefficient ou une fréquence
▬Pour retrouver la vitesse lumière à partir du temps et la longueur de Planck, voici la formule :
1/5,391247e-44 * 1,616255e-35 m =299 792 422,79198115018658948477041
▬On s’aperçoit que la vitesse trouvée n’est pas exacte par rapport à la constante théorique, car il y a une différence : 299 792 458 - 299 792 422,79198115018658948477041 =35,20801884981341051522959 m. Maintenant est-ce une erreur d’approximation des unités de Planck ?, car nous ne savons peut être pas donner des décimales supplémentaires, car la précision au calcul s’arrête ? mais ce qui est sûr c’est qu’avec les unités e Planck nous ne retrouvons pas la vitesse lumière homologuée de 299 792 458 m/s. Il y a un manque de plus de 35 mètre à cette vitesse lumière.
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299 792 422,79198115018658948477041 /299 792 458 =0,99999988255869048642507706037892
1/0,99999988255869048642507706037892=1,0000001174413233060377230078174
ou
299 792 458 / 299 792 422,79198115018658948477041 =1,0000001174413233060377230078174
C’est ce coefficient qui permet de retomber sur ses partes et ce coefficient adapte aussi bien sur les longueurs de Planck que sur le le temps de Planck ; Si on adapte un coefficient sur les longueurs on rallonge en fait la longueur de Planck, mais dans ce cas il n’y plus de d’inter-temps possible, car entre chaque temps de Planck le temps est nul, car les temps-Planck sont juxtaposés.
Voici la formule qui permet de calculer la vitesse de la lumière avec les unité de Planck, mais avec ces unités cela ne tombe pas jute, car on ne retrouve pas la constante de la lumière ;
1/1/5,391247e-44 * 1,616255e-35 m =299 792 422,79198115018658948477041
Voici la formule qui permet de calculer la vitesse de la lumière avec les constantes de Planck, mais avec ces unités modifiées et cela ne tombe pas jute, car on retrouve la constante de la lumière ;
Pour que cette cette valeur soit juste il faut adapter un coefficient de rattrapage sur les longueurs pou le temps !!!
299 792 422,79198115018658948477041 *1,0000001174413233060377230078174 =299 792 458
(1/1/5,391247e-44) * (1,616255e-35*1,0000001174413233060377230078174) =299 792 457,99999999999999999999998 avec arrondi =299 792 458
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Dans ce modèle de la longueur de Planck on a augmenté par un facteur calculé pour retrouver la vitesse lumière c
1,616255e-35 * 1,0000001174413233060377230078174 =1,616255189815126e-35
1,616255189815126e-35 * 1,8548584399861479171701834473546e+43 =299 792 458
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Dans cette exemple on a choisi de rallonger la longueur de Planck, par un coefficient calculé qui est un choix possible, et on retrouve la vitesse lumière c sans arrondi 299 792 458 !!! Mais l’unité de Planck initial de 1,616255e-35 est passée à 1,616255189815126e-35 avec 9 décimales de plus
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Maintenant si on veux adapter ce coefficient sur les unités de temps de Planck cela revient au même :
5,391247e-44 * 1,0000001174413233060377230078174 = 5,3912476331551819497059560527265e-44 s
5,3912476331551819497059560527265e-44 * 1,8548584399861479171701834473546e+43 =1,0000001174413233060377230078174
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Démonstration de la secone :
1/5,3912476331551819497059560527265e-44 s =1,8548582221491437628902498074731e+43
5,3912476331551819497059560527265e-44 * 1,8548582221491437628902498074731e+43 =1
Nous retrouvons notre belle seconde !!!
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Donc votre temps inter-temps entre chaque temps-Planck est de
5,3912476331551819497059560527265e-44 - 5,391247e-44 = 6,331551819497059560527265e-51
Mais nous avons des digits supplémentaires quille faille supprimer ;
Entre le temps de Planck de 5,391247e-44 s et vote inter-temps de 6,331551819497059560527265e-51 ça va vite.
Par curiosité quel est le rapport entre le temps de Planck et votre temps inter-temps ?
5,391247e-44 / 6,331551819497059560527265e-51 =8 514 890,4308079220198710656928904 (8 millions) de fois
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▬Une troisième soliton existe qui est de partager une augmentation du temps et aussi une augmentation des longueurs, de Planck .Mais je n’ira pas plus loin. Je ne comprends d’où sort ce 1060 fois, mais le meilleurs de mon incompréhension est ce mot de CONDENSION que je n’ai pas trouvé. Et donc un CONDENSION c’est quoi ?
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Voici votre texte re magné :
Pour alimenter le débat sur le vide de l’espace-temps
2 principes du modèle standard :
1) L’espace et le temps forment le contenant de l’univers, infini mais discontinu. Je nomme l’unité de l’espace-temps (temps de Planck) Planck-temps et l’inconnu entre 2 Planck-temps, l’inter-temps.
2) Les énergies et les informations en sont le contenu, fini. Pourtant, l’univers est en expansion et les informations présentes (matière et antimatière) sont constamment et exponentiellement démultipliées. D’où vient l’énergie nécessaire aux nouvelles informations créées, permettant l’extension de l’univers ?
Puisque la solution nous échappe dans Planck-temps, ne serait-elle pas dans inter-temps, cet inconnu ?
Je propose une réduction d’échelle de l’univers pendant inter-temps, ( donc, inobservable ni par nos sens et ni par nos instruments de mesure) : La CONDENSION de l’espace-temps.
1) Depuis le premier Planck-temps de l’univers, s’opère une réduction d’échelle, durant chaque inter-temps, vers l’infiniment petit : la CONDENSION de l’espace-temps permet, ainsi, une économie d’énergie, constante. Chaque Planck-temps est plus petit que le précédent et il est plus grand que le suivant. Par le même souci d’économie d’énergie, à l’exemple de la nature, cette CONDENSION devrait se dérouler le long d’une hélice.
2) La CONDENSION entraîne la trame des informations vers l’infiniment petit dans cette réduction d’échelle. Mais, pas les grains d’énergie. La vitesse de cette CONDENSION durant inter-temps doit être de 300000km/s. Les grains d’énergie, nommées PHOTONES, restent fixes par rapport au centre de GRAVITÉ de leur émetteur. Les PHOTONES fournissent l’énergie nécessaire aux informations qu’elles rencontrent durant les inter-temps. Dans Planck-temps, la géométrie est euclidienne et la physique est quantique. La succession des cycles Planck-temps/inter-temps, réduisant l’échelle vers l’infiniment petit, implique une géométrie riemannienne. L’équation de Minkowski, les transformations de Lorentz et le « c », devenu CONDENSION, sont préservés.
3) L’énergie nécessaire à une particule pour s’opposer à la CONDENSION c afin de partager ses informations « m » dans les 3 dimensions est E=mc3 soulagée par le rapprochement de toutes les autres particules causé par la CONDENSION c, soit E=mc3/c=mc2. L’énergie économisée par la CONDENSION d’une particule est égale à la réduction d’échelle (dont l’unité de mesure subit la CONDENSION c) de sa masse d’informations dans les 3 dimensions, soit E=m/c×c3= mc2. L’univers a inventé le moteur perpétuel nécessaire à sa réalisation.
4) La PHOTONE vibrant dans le plan perpendiculaire à la CONDENSION en intensité et en période suivant sa nature est perçue comme une onde comme le stylo du cardiographe crée une onde sur le papier qui se déroule. L’économie d’énergie, due à la CONDENSION en x, crée de l’électricité, celle en y et z, crée du magnétisme. En traversant le champ de particules fixes qui n’interfèrent pas, le plein entre les fentes de Young avançant dans la CONDENSION, dessine des raies d’ombres régulières visibles sur l’écran, sauf intervention extérieure.
5) La réduction d’échelle procure un déplacement (-c) de chaque particule dans les 3 dimensions libérant un espace-temps de (-c)*(-c)*(-c), qui donne, avec la réduction (c) de l’unité de mesure, (-c)3/ (d) = (-c) 2. inter-temps est le domaine des nombres complexes. L’espace-temps passé est une mémoire géométrique.
6) L’échelle de chaque inter-temps diminuant à chaque Planck-temps, si on estime à 1060 le nombre d’inter-temps, donc Planck-temps, depuis son début, la taille de l’univers devait être 1060 fois plus grande qu’aujourd’hui. Et son âge devrait être de 13 et quelques milliards d’unité actuelle de mesure d’années que multiplie 1060.
7) Fin de la magie noire : plus besoin d’énergie noire ou sortie du chapeau du vide, de matière noire, de trous de vers, de cordes, d’univers parallèles et mort définitive du chat de Schrödinger. Einstein qui, à 16 ans, s’était imaginé à califourchon sur un grain d’énergie, son image disparaissant dans son rétroviseur avec l’univers s’enfuyant à la vitesse de la lumière, avait, encore une fois, raison : « Dieu ne joue pas aux dés. »
▬Amicalement. JFP/Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

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