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L’expansion de l’Univers, une preuve de la dialectique matière/espace-temps

27 décembre 2021, 17:56, par Patrick Cavenel, Architecte

Pour alimenter le débat sur le vide de l’espace-temps

2 principes du modèle standard :
1) L’espace et le temps forment le contenant de l’univers, infini mais discontinu. Je nomme l’unité de l’espace-temps (temps de Planck) l’intratemps et l’inconnu entre 2 intratemps, l’intertemps.
2) Les énergies et les informations en sont le contenu, fini. Pourtant, l’univers est en expansion et les informations présentes (matière et antimatière) sont constamment et exponentiellement démultipliées. D’où vient l’énergie nécessaire aux nouvelles informations créées, permettant l’extension de l’univers ?
Puisque la solution nous échappe dans l’intratemps, ne serait-elle pas dans l’intertemps, cet inconnu ?

Je propose une réduction d’échelle de l’univers pendant l’intertemps, ( donc, inobservable ni par nos sens et ni par nos instruments de mesure) : La Condension de l’espace-temps.

1) Depuis le premier intratemps de l’univers, s’opère une réduction d’échelle, durant chaque intertemps, vers l’infiniment petit : la condension de l’espace-temps permet, ainsi, une économie d’énergie, constante. Chaque intratemps est plus petit que le précédent et il est plus grand que le suivant. Par le même souci d’économie d’énergie, à l’exemple de la nature, cette condension devrait se dérouler le long d’une hélice.
2) La condension entraîne la trame des informations vers l’infiniment petit dans cette réduction d’échelle. Mais, pas les grains d’énergie. La vitesse de cette condension durant l’intertemps doit être de 300000km/s. Les grains d’énergie, nommées photones, restent fixes par rapport au centre de gravité de leur émetteur. Les photones fournissent l’énergie nécessaire aux informations qu’elles rencontrent durant les intertemps. Dans l’intratemps, la géométrie est euclidienne et la physique est quantique. La succession des cycles intratemps/intertemps, réduisant l’échelle vers l’infiniment petit, implique une géométrie riemannienne. L’équation de Minkowski, les transformations de Lorentz et le « c », devenu condension, sont préservés.
3) L’énergie nécessaire à une particule pour s’opposer à la condension c afin de partager ses informations « m » dans les 3 dimensions est E=mc3 soulagée par le rapprochement de toutes les autres particules causé par la condension c, soit E=mc3/c=mc2. L’énergie économisée par la condension d’une particule est égale à la réduction d’échelle (dont l’unité de mesure subit la condension c) de sa masse d’informations dans les 3 dimensions, soit E=m/c×c3= mc2. L’univers a inventé le moteur perpétuel nécessaire à sa réalisation.
4) La photone vibrant dans le plan perpendiculaire à la condension en intensité et en période suivant sa nature est perçue comme une onde comme le stylo du cardiographe crée une onde sur le papier qui se déroule. L’économie d’énergie, due à la condension en x, crée de l’électricité, celle en y et z, crée du magnétisme. En traversant le champ de particules fixes qui n’interférent pas, le plein entre les fentes de Young avançant dans la condension, dessine des raies d’ombres régulières visibles sur l’écran, sauf intervention extérieure.
5) La réduction d’échelle procure un déplacement (-c) de chaque particule dans les 3 dimensions libérant un espace-temps de (-c)*(-c)*(-c), qui donne, avec la réduction (c) de l’unité de mesure, (-c)3/ (d) = (-c) 2. L’intertemps est le domaine des nombres complexes. L’espace-temps passé est une mémoire géométrique.
6) L’échelle de chaque intertemps diminuant à chaque intratemps, si on estime à 1060 le nombre d’intertemps, donc d’intratemps, depuis son début, la taille de l’univers devait être 1060 fois plus grande qu’aujourd’hui. Et son âge devrait être de 13 et quelques milliards d’unité actuelle de mesure d’années que multiplie 1060.
7) Fin de la magie noire : plus besoin d’énergie noire ou sortie du chapeau du vide, de matière noire, de trous de vers, de cordes, d’univers parallèles et mort définitive du chat de Schrödinger. Einstein qui, à 16 ans, s’était imaginé à califourchon sur un grain d’énergie, son image disparaissant dans son rétroviseur avec l’univers s’enfuyant à la vitesse de la lumière, avait, encore une fois, raison : « Dieu ne joue pas aux dés. »

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