Edouard Philippe, plus blanc que blanc, transparent…
L’objectif numéro un affiché par Macron président était la transparence financière de ses ministres. Ça a mal commencé : son premier ministre n’est en rien un homme transparent financièrement. Pas moyen de lui faire dire ce qu’il a gagné à Areva par exemple. Il fait partie de la minorité des élus qui ont toujours refusé de répondre aux questions de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Macron croise les doigts : qu’on ne trouve pas chez son premier ministre des fausses déclarations d’impôts ou des conflits d’intérêts…
Edouard Philippe, plus blanc que blanc, transparent…
L’objectif numéro un affiché par Macron président était la transparence financière de ses ministres. Ça a mal commencé : son premier ministre n’est en rien un homme transparent financièrement. Pas moyen de lui faire dire ce qu’il a gagné à Areva par exemple. Il fait partie de la minorité des élus qui ont toujours refusé de répondre aux questions de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Macron croise les doigts : qu’on ne trouve pas chez son premier ministre des fausses déclarations d’impôts ou des conflits d’intérêts…