Pas besoin de préciser dans quel sens Macron va tenter de gouverner : il suffit d’entendre les cris de victoire du MEDEF, des patrons, des banques, des bourses, du Figaro et autres représentants de la grande bourgeoisie. Il suffit aussi de voir que les ministres, dont le premier, sont des suppôts affirmés du patronat, dont tout le passé les montre au service du grand capital, que ce soit d’Areva, de Total ou d’autres trusts ou banques, comme Macron lui-même, des défenseurs aussi de l’aide publique au patronat privé et de l’Etat aux ordres du capital.
Pas besoin de préciser dans quel sens Macron va tenter de gouverner : il suffit d’entendre les cris de victoire du MEDEF, des patrons, des banques, des bourses, du Figaro et autres représentants de la grande bourgeoisie. Il suffit aussi de voir que les ministres, dont le premier, sont des suppôts affirmés du patronat, dont tout le passé les montre au service du grand capital, que ce soit d’Areva, de Total ou d’autres trusts ou banques, comme Macron lui-même, des défenseurs aussi de l’aide publique au patronat privé et de l’Etat aux ordres du capital.