Révolte sociale et politique dans les ex « pays de l’Est »
24 juin 2019, 11:15
La révolte gronde aussi en Serbie.
Chaque samedi, des milliers d’opposants défilent à Belgrade "contre la dictature", unis par leur détestation de l’homme fort de Serbie, sans dessiner encore d’alternative politique. La colère est née de l’agression fin novembre d’un responsable de gauche, Borko Stefanovic. Des milliers marchent dans le calme derrière une banderole "Stop aux chemises ensanglantées", référence au vêtement rougi brandi par Borko Stefanovic après son agression.
La révolte gronde aussi en Serbie.
Chaque samedi, des milliers d’opposants défilent à Belgrade "contre la dictature", unis par leur détestation de l’homme fort de Serbie, sans dessiner encore d’alternative politique. La colère est née de l’agression fin novembre d’un responsable de gauche, Borko Stefanovic. Des milliers marchent dans le calme derrière une banderole "Stop aux chemises ensanglantées", référence au vêtement rougi brandi par Borko Stefanovic après son agression.