Réponse au curé de Saint-Joseph-de-Lanoraie. Ce dernier lui affirma que le pape Pie XI avait condamné le national-socialisme dans son encyclique Mit Brennender Sorge en 1937 :
« J’ai peut-être cent fois lu, dans ses textes allemand, latin, anglais et français cette lettre d’encyclique [NdA : Mit Brennender Sorge] et je n’y ai jamais rien vu qui condamnât le national-socialisme. Certes, il y a des allusions contre Alfred Rosenberg et ses 90.000 wotanistes (sur 80.000.000 d’allemands) mais aucune contre Hitler. En temps opportuns, j’avais écrit à une très haute autorité pour exiger, en tant que catholique et pour le salut de mon âme, qu’on me renseigne sur ce qu’il y avait de condamnable dans Mein Kampf et dans les discours de Hitler. On ne put m’indiquer rien de condamnable. Hitler a mis au ban de la loi : le communisme, le socialisme, les clubs d’athées et de libres penseurs, les Témoins de Jéovah, les clubs d’homosexuels, la franc-maçonnerie, toutes choses que l’Eglise a toujours condamnées. Seul chef de l’Occident, il a eu l’immense honneur de lancer ses forces armées contre l’URSS. Il a imposé le port du brassard aux juifs, copiant les papes du Moyen-Âge qui imposaient le port de la rouelle aux mêmes juifs. »
Adrien Arcand, chef du Parti National-Social Chrétien (PNSC) canadien, dans sa lettre du 27 novembre 1961
« [Mit Brennender Sorge] n’est en aucun cas une condamnation du gouvernement du Reich »
– Eugenio Pacelli, cardinal secrétaire d’État (futur Pie XII), dans une note signée du 30 avril 1937, en réponse à l’ambassadeur du Reich auprès du Saint-Siège
Réponse au curé de Saint-Joseph-de-Lanoraie. Ce dernier lui affirma que le pape Pie XI avait condamné le national-socialisme dans son encyclique Mit Brennender Sorge en 1937 :
« J’ai peut-être cent fois lu, dans ses textes allemand, latin, anglais et français cette lettre d’encyclique [NdA : Mit Brennender Sorge] et je n’y ai jamais rien vu qui condamnât le national-socialisme. Certes, il y a des allusions contre Alfred Rosenberg et ses 90.000 wotanistes (sur 80.000.000 d’allemands) mais aucune contre Hitler. En temps opportuns, j’avais écrit à une très haute autorité pour exiger, en tant que catholique et pour le salut de mon âme, qu’on me renseigne sur ce qu’il y avait de condamnable dans Mein Kampf et dans les discours de Hitler. On ne put m’indiquer rien de condamnable. Hitler a mis au ban de la loi : le communisme, le socialisme, les clubs d’athées et de libres penseurs, les Témoins de Jéovah, les clubs d’homosexuels, la franc-maçonnerie, toutes choses que l’Eglise a toujours condamnées. Seul chef de l’Occident, il a eu l’immense honneur de lancer ses forces armées contre l’URSS. Il a imposé le port du brassard aux juifs, copiant les papes du Moyen-Âge qui imposaient le port de la rouelle aux mêmes juifs. »
Adrien Arcand, chef du Parti National-Social Chrétien (PNSC) canadien, dans sa lettre du 27 novembre 1961
« [Mit Brennender Sorge] n’est en aucun cas une condamnation du gouvernement du Reich »
– Eugenio Pacelli, cardinal secrétaire d’État (futur Pie XII), dans une note signée du 30 avril 1937, en réponse à l’ambassadeur du Reich auprès du Saint-Siège