Les catastrophes telles que l’inondation du Texas sont des crimes sociaux, commis par une aristocratie financière qui a passé le dernier demi-siècle à piller le pays et à négliger son infrastructure sociale tout en accumulant des sommes inimaginables de richesses personnelles. Selon les médias contrôlés par les grandes entreprises et l’ensemble de l’establishment politique – les démocrates pas moins que les républicains – il n’y a pas d’argent pour construire des défenses contre les inondations ou reconstruire des ponts, des routes et des systèmes d’eau en ruines, ni pour moderniser et étendre les transports publics ou fournir des écoles et des logements décents pour la population.
Mais il y a des milliards de dollars cachés dans les comptes bancaires et les portefeuilles d’actions des riches et des super-riches. Des centaines de milliards sont gaspillés chaque année sur les instruments de guerre.
Le pays chancelle d’une catastrophe qui aurait pu être évitée à l’autre : Katrina en 2005, la marée noire de BP en 2010, la super-tempête Sandy en 2012, et maintenant Harvey. Entre les innombrables inondations, tornades, incendies et autres événements qui causent des ravages pour la classe ouvrière et les familles pauvres, qu’une élite dirigeante noyée dans ses propres excès laisse se débrouiller toutes seules.
Les catastrophes telles que l’inondation du Texas sont des crimes sociaux, commis par une aristocratie financière qui a passé le dernier demi-siècle à piller le pays et à négliger son infrastructure sociale tout en accumulant des sommes inimaginables de richesses personnelles. Selon les médias contrôlés par les grandes entreprises et l’ensemble de l’establishment politique – les démocrates pas moins que les républicains – il n’y a pas d’argent pour construire des défenses contre les inondations ou reconstruire des ponts, des routes et des systèmes d’eau en ruines, ni pour moderniser et étendre les transports publics ou fournir des écoles et des logements décents pour la population.
Mais il y a des milliards de dollars cachés dans les comptes bancaires et les portefeuilles d’actions des riches et des super-riches. Des centaines de milliards sont gaspillés chaque année sur les instruments de guerre.
Le pays chancelle d’une catastrophe qui aurait pu être évitée à l’autre : Katrina en 2005, la marée noire de BP en 2010, la super-tempête Sandy en 2012, et maintenant Harvey. Entre les innombrables inondations, tornades, incendies et autres événements qui causent des ravages pour la classe ouvrière et les familles pauvres, qu’une élite dirigeante noyée dans ses propres excès laisse se débrouiller toutes seules.