« D’une part, il existe indépendamment de l’homme une réalité mathématique brute et immuable ; d’autre part, nous ne la percevons que grâce à notre cerveau, au prix, comme le disait Valéry, d’un rare mélange de concentration et de désir. »
Et aussi :
« Je crois qu’il faut se garder de confondre la réalité mathématique et son illustration possible dans les phénomènes naturels. Quand je parle de l’existence indépendante de la réalité mathématique, je ne la localise absolument pas dans la réalité physique. »
Il y aurait donc trois mondes : le monde matériel, le monde spirituel et le monde mathématique. C’est du Popper. Ou, éventuellement, du Platon.
Ces conceptions de plusieurs mondes séparés ne peuvent nous permettre d’expliquer la réalité car les auteurs ne nous permettent pas de trouver les passerelles indispensables entre ces mondes… Car ces passerelles seraient un quatrième, un cinquième et un sixième monde. Or, pour eux, elles sont indispensables !
Alain Connes écrit en effet :
« D’une part, il existe indépendamment de l’homme une réalité mathématique brute et immuable ; d’autre part, nous ne la percevons que grâce à notre cerveau, au prix, comme le disait Valéry, d’un rare mélange de concentration et de désir. »
Et aussi :
« Je crois qu’il faut se garder de confondre la réalité mathématique et son illustration possible dans les phénomènes naturels. Quand je parle de l’existence indépendante de la réalité mathématique, je ne la localise absolument pas dans la réalité physique. »
Il y aurait donc trois mondes : le monde matériel, le monde spirituel et le monde mathématique. C’est du Popper. Ou, éventuellement, du Platon.
Ces conceptions de plusieurs mondes séparés ne peuvent nous permettre d’expliquer la réalité car les auteurs ne nous permettent pas de trouver les passerelles indispensables entre ces mondes… Car ces passerelles seraient un quatrième, un cinquième et un sixième monde. Or, pour eux, elles sont indispensables !