En réponse à :
2 janvier 2010 18:44, par Robert Paris
Rosmer :
Le bannissement de Trotsky a été l’occasion, comme il fallait s’y attendre, d’une nouvelle campagne de dégoûtants mensonges. Moscou a donné le ton et les hauts-parleurs de l’Internationale Communiste ont suivi : au moment où l’on frappe un adversaire, on répand autour de lui une bave empoisonnée. C’est la tactique habituelle, elle a déjà beaucoup servi et elle finira bien par écœurer les ouvriers communistes. Je comprends donc qu’on ne s’émeuve pas outre mesure, mais Je crois qu’il ne faut pas laisser cette fois tous ces mensonges sans réponse, d’autant que nous aurons, en répondant, la possibilité (...)