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La mesure d’ondes gravitationnelles et sa signification

18 août 2021, 13:31, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦20210818¦¦ Bonjour. Avant de parler de votre article sur les ondes gravitationnelles, je voudrai exposer comment j’imagine et je conçois la gravitation ainsi que les ondes gravitationnelles....
▬Un premier envoi de mon message a été envoyé et refusé, et pourtant quand même édité, mais le format a changé, donc j’ai découpé mon message de telle sorte qu’il y est une partie gravitation et une autre onde gravitationnelle. Ne pas tenir compte du premier envoi.
▬La gravitation :
▬J’ai une autre vision totalement opposée de ce qu’est la gravitation par rapport aux scientifiques, et donc aussi de ces fameuses ondes gravitationnelles, car j’inverse le sens de cette notion de gravitation, car ce que l’on mesure de la gravitation actuellement c’est sa déformation liée aux masses, mais jamais on mesure la gravitation directement, et ceci est tellement vrai, qu’il faille des masses pour mesurer la gravitation. Ce que l’on mesure n’est pas la gravitation mais la déformation de cette gravitation liée aux masses.
▬Ainsi quand il n’y aucune masse dans les parages de l’espace, la gravitation est à son apogée et est la plus grande possible, ,ce qui est exactement l’inverse pour les scientifiques. La gravitation est liée à cette particule de graviton hypothétique qui est pour moi dynamique, ce qui veut dire que ces gravitons sont toujours en mouvement dans l’espace et parcourent toutes les directions, et donnent une force de poussée dans tous les sens. Donc quand il n’y a pas de masse dans un grand volume d’espace, la gravitation que sont les gravitons ne sont pas perturber par les masses, et donnent cette notion de gravitation qui est une poussée la plus grande possible dans toutes les directions. J’ai donc pris volontairement l’inverse des conventions scientifiques qui sont liées aux masses et à la gravitation, car simplement pour mesurer la gravitation on a besoin de masse, sinon on ne sait pas sur quoi s’appuyer.
▬Si on introduit une masse dans cet espace rempli de gravitons dynamiques, cette masse va agir sur ces gravitons, en happant une certaine quantité de gravitons. La quantité de gravitons sortant d’une masse est plus faible qu’en entrant dans la masse, et donc il y moins de gravitons sortant, car la masse a affaiblie une partie de cette poussée par capture de certains gravitons. Naturellement plus la masse est grande, et plus de gravitons sont retenus, ce qui donne une plus grande déformation de la gravitation initiale, où la poussée devient plus faible car plus de gravitons sont retenus par la masse et plus faible est la force de poussée. Donc le degré de la gravitation pour les scientifiques est le degré de déformation de la gravitation, mais pas la gravitation elle-même. La masse est une chose, mais la densité de la masse est autre chose, ainsi il existe des objets que sont les trous noirs, où ces objets sont tellement spéciaux et denses qu’ils ne laissent même pas passer ces gravitons dynamiques. La déformation de l’espace-temps est alors à son apogée car rien ne traverse ces objets de trous noirs. Les poussées exercées par ces gravitons, ne deviennent plus homogènes dans l’espace, suivant les objets traversés, et un champ de dépression se créer autour de ces objets suivant leur masse.
▬Cette vision inverse la compréhension de la notion de la gravitation, car quand il n’y a aucune masse dans un certain volume d’espace, la force de la gravitation est la plus forte possible, et quand des masses sont présentent, ces masses affaiblissent cette force de gravitation, et donc affaiblissent cette poussée. En physique on a pris l’inverse qui est le degré de déformation de cette force de la gravitation, et non le degré de cette force, et naturellement quand il n’y a aucune masse dans un volume d’espace, le degré de déformation est à zéro ou nul, et pourtant c’est là où la force de poussée est la plus grande.... Chaque masse posée dans l’espace déforme donc cette poussée de gravitation qui est l’espace-temps, qui est à une échelle encore inférieure au vide quantique et ses particules virtuelles. La physique quantique ne parle jamais de ce graviton hypothétique, seule la physique des particules a recensée cette particule hypothétique mais ne donne aucune explication, car on ne sait même pas si cette particule est dynamique ou statique.
▬Cette vision de voir la gravitation comme une poussée est une invention et une pensée de moi-même, et je ne savais pas que cette vision avait déjà été émise il y plus de 3 sicles, mais cette vision de la gravitation à été refusée par des physiciens plus récents, et cette idée est tombée à l’eau, à cause de critiques et de raisonnements classiques...
▬Quand il y a deux objets assez proche l’un de l’autre dans l’espace, entre ces deux objets, la force de gravitation est affaiblie, car chaque objet à pris une partie de cette force de gravitation qui est une poussée, et c’est comme si il y avait une dépression entre ces deux objets les faisant se rapprocher, mais le mouvement des objets donne un équilibre à cette dépression de poussée entre objets. Cela donne donne des systèmes en équilibre, où malgré que des objets semble être attirés entre eux, la vitesse de révolution autour d’un objet plus massique, donne un équilibre stable.
▬Maintenant pourquoi des lignes droites tangentes à une masse, deviennent des courbes que sont les géodésiques ? Eh bien passant prés d’une masse, la poussée de gravitation n’est plus homogène, car du coté de la masse la force de gravitation est affaiblie, car une partie des gravitons ont été retenus par la masse, et dans la direction opposée, cette force n’est pas affaiblie et donc il y a un déséquilibre des poussées ce qui fait que la trajectoire en ligne droite, donnera des trajectoires courbes que l’on dit géodésiques, et la trajectoire tendra à aller vers la masse comme si la masse attirait cette trajectoire.
▬C’est l’espace-temps de Einstein qui se déforme, mais sa déformation est liée à une poussée affaiblie par les masses, car il y a moins de poussée qui sort de l’astre que de poussée qui y rentre, car des gravitons ont été retenus par l’astre et déséquilibre l’homogénéité des poussées. Donc près d’une masse les poussées sont affaiblies, et on prend le degré de déformation de cette poussée, et non la poussée affaiblie elle-même, c’est ce que j’ai dis au début du texte, où je disais que je prenais l’inverse des conventions habituelles. En gros, ce ne sont pas les masses qui donnent cette notion de gravitation, mais ces masses affaiblissent la gravitation initiale. Les masses servent de relais aux calculs de la gravitation de l’espace, mais ces calculs reflètent non pas la gravitation, mais la déformation de la gravitation. Sans masse la gravitation existe, mais on ne sait pas sur quoi s’appuyer pour la calculer !!! La gravitation sans les masses devrait une constante, car les grands espaces où les masses sont absente, la force gravitation est la même. Les forces calculées sont des forces de déformation, et pour avoir la force réelle de gravitation, il faut simplement, mettre cette force de déformation en tant que diviseur de la valeur UN (1/F)

▬Pour résumer, le vide de l’espace est une vraie force de poussée dans toutes les directions, sans utilisation des masses, et ce sont ces masses qui justement affaiblissent cette force de l’espace.
▬Comme déjà dit dans un autre article, la déformation de la gravitation par les masses engendre des référentiels différents, et les conséquences de ces déformations de la gravitation, affectent les vibrations naturelles des atomes. Le temps comme les dimensions ne changent absolument pas, car ce qui change sont les fréquences de chaque type d’atome, mais ne déforme pas le temps ni les dimensions ou longueurs. Ainsi dans un référentiel où toute masse est absente et étant sans mouvement, ce référentiel définira les plus grandes fréquences des différents types d’atome. On peut dire que ces référentiels non déformés par les masses, définissent aussi un temps absolu, car c’est une seuil où la vibration des fréquences d’atomes est la plus rapide. De là on ne peut que faire moins vibrer les atomes en association avec la vitesse (relativité restreinte) ou par les masses (relativité générale). Le seuil minimum de ces vibrations, est soit d’être à la vitesse lumière soit d’être dans un trou noir, et dans ces deux cas les fréquences des atomes sont à zéro, et le temps devient absent et n’existe plus. Il y a donc deux bornes, où dans un cas le temps ou les fréquences des atomes sont à leur apogée, c’est à dire vibres le plus rapidement possible, et l’autre borne est simplement que le temps est arrêté, car les fréquences des atomes n’existent plus.
▬Je poursuis ensuite par un autre message utilisateur, ce que sont les ondes gravitationnelles....
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

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