« La pensée qui me vient après cette analyse est qu’il ne faut pas chercher à régler le paradoxe en conservant la notion de vide. L’éther n’existe pas, l’espace n’existe que de par son contenu, si on me dit qu’entre A et B il n’y a que du vide j’en conclue qu’ils sont au contact. On parle aujourd’hui de vide quantique, c’est-à-dire un vide qui ne l’est pas et qui a des effets mécaniques sur ce qui le traverse. »
Cela ne me semble pas exact. Je pense que tu imagines encore le vide comme un éther du type matériel alors que ce n’est pas le cas. Le vide quantique est formé d’éléments qui apparaissent et disparaissent et, du coup, il peut s’y dérouler des événements à contrario de l’écoulement du temps et la matière n’a pas seulement une interaction avec le vide : elle se meut en tant que déplacement d’une propriété au sein des éphémères du vide, ce qui est très différent de l’idée d’un milieu se contentant d’entourer les particules du vide, d’ « être entre » A et B…
Tu écris d’autre part :
« La pensée qui me vient après cette analyse est qu’il ne faut pas chercher à régler le paradoxe en conservant la notion de vide. L’éther n’existe pas, l’espace n’existe que de par son contenu, si on me dit qu’entre A et B il n’y a que du vide j’en conclue qu’ils sont au contact. On parle aujourd’hui de vide quantique, c’est-à-dire un vide qui ne l’est pas et qui a des effets mécaniques sur ce qui le traverse. »
Cela ne me semble pas exact. Je pense que tu imagines encore le vide comme un éther du type matériel alors que ce n’est pas le cas. Le vide quantique est formé d’éléments qui apparaissent et disparaissent et, du coup, il peut s’y dérouler des événements à contrario de l’écoulement du temps et la matière n’a pas seulement une interaction avec le vide : elle se meut en tant que déplacement d’une propriété au sein des éphémères du vide, ce qui est très différent de l’idée d’un milieu se contentant d’entourer les particules du vide, d’ « être entre » A et B…