Dans un rapport publié le 3 février, l’ONG internationale, Human Rights Watch (HRW), a dénoncé les abus commis par la police et l’État français sous l’état d’urgence. Le rapport souligne le refus systématique et arbitraire de droits démocratiques fondamentaux par la police française, non contrôlée par le pouvoir judiciaire en vertu de l’état d’urgence, et le ciblage des personnes d’origine musulmane.
HRW déclare, « La France a effectué des perquisitions et des assignations à résidence abusives et discriminatoires contre des musulmans dans le cadre de sa nouvelle loi à vaste portée sur l’état d’urgence. Ces mesures ont créé des difficultés économiques, ont stigmatisé les personnes ciblées et ont traumatisé des enfants. »
Selon les données de HRW, étayées par de nombreuses informations des médias français, les attaques contre les droits démocratiques se produisent sur une vaste échelle. En plus de 3.289 perquisitions sans mandat de maisons et de bâtiments, des équipes SWAT de la police et des gendarmes sont entrées par effraction, ont attaqué les occupants, les ont menottées et agressés. Elles ont régulièrement et arbitrairement endommagé les portes, les meubles et les biens des personnes visées ; celles-ci doivent ensuite réparer les dégâts sans espoir de compensation par l’État.
Dans un rapport publié le 3 février, l’ONG internationale, Human Rights Watch (HRW), a dénoncé les abus commis par la police et l’État français sous l’état d’urgence. Le rapport souligne le refus systématique et arbitraire de droits démocratiques fondamentaux par la police française, non contrôlée par le pouvoir judiciaire en vertu de l’état d’urgence, et le ciblage des personnes d’origine musulmane.
HRW déclare, « La France a effectué des perquisitions et des assignations à résidence abusives et discriminatoires contre des musulmans dans le cadre de sa nouvelle loi à vaste portée sur l’état d’urgence. Ces mesures ont créé des difficultés économiques, ont stigmatisé les personnes ciblées et ont traumatisé des enfants. »
Selon les données de HRW, étayées par de nombreuses informations des médias français, les attaques contre les droits démocratiques se produisent sur une vaste échelle. En plus de 3.289 perquisitions sans mandat de maisons et de bâtiments, des équipes SWAT de la police et des gendarmes sont entrées par effraction, ont attaqué les occupants, les ont menottées et agressés. Elles ont régulièrement et arbitrairement endommagé les portes, les meubles et les biens des personnes visées ; celles-ci doivent ensuite réparer les dégâts sans espoir de compensation par l’État.