Contrairement à ce qu’elles veulent nous faire croire, les classes dirigeantes ont peur de la classe ouvrière mondiale
1er octobre 2015, 16:41, par Robert Paris
Bercy pour l’effort de l’Etat
Les restrictions budgétaires de la France, pour combler son déficit et retarder la faillite de l’Etat, ne visent pas l’aide étatique aux trusts, aux banques, aux bourses, aux financiers, aux assurances, aux capitalistes de toutes sortes, aide qui, au contraire, est au plus haut sommet historique, elle ne vise pas les dépenses pour des guerres extérieures, là aussi un sommet historique. Non, elles visent le nombre de fonctionnaires, la privatisation des services publics, le dépeçage des entreprises d’Etat ou semi-publiques, la mise en coupe réglée de la Santé et de l’Education comme de la Recherche, des réductions drastiques sur l’aide au logement, sur les prestations sociales, sur les aides aux chômeurs, sur la Sécurité sociale, sur les hôpitaux, sur l’assurance-chômage, sur les retraites et on en passe… Le ministre du Budget Sapin clame : « C’est un budget de gauche » mais son compère Macron a précisé : « La gauche c’est le libéralisme ! » et effectivement, la gauche c’est la défense du grand capital contre le travail, même Sarkozy et Le Pen ne peuvent que promettre… la même chose…
Bercy pour l’effort de l’Etat
Les restrictions budgétaires de la France, pour combler son déficit et retarder la faillite de l’Etat, ne visent pas l’aide étatique aux trusts, aux banques, aux bourses, aux financiers, aux assurances, aux capitalistes de toutes sortes, aide qui, au contraire, est au plus haut sommet historique, elle ne vise pas les dépenses pour des guerres extérieures, là aussi un sommet historique. Non, elles visent le nombre de fonctionnaires, la privatisation des services publics, le dépeçage des entreprises d’Etat ou semi-publiques, la mise en coupe réglée de la Santé et de l’Education comme de la Recherche, des réductions drastiques sur l’aide au logement, sur les prestations sociales, sur les aides aux chômeurs, sur la Sécurité sociale, sur les hôpitaux, sur l’assurance-chômage, sur les retraites et on en passe… Le ministre du Budget Sapin clame : « C’est un budget de gauche » mais son compère Macron a précisé : « La gauche c’est le libéralisme ! » et effectivement, la gauche c’est la défense du grand capital contre le travail, même Sarkozy et Le Pen ne peuvent que promettre… la même chose…