Face à une nouvelle caravane de milliers de migrants honduriens, Trump menace de fermer la frontière...
Ils étaient 200 il y a une semaine. Mais le bouche-à-oreille et les appels sur les réseaux sociaux aidant, la nouvelle « caravane » de migrants honduriens fuyant pour la plupart les violences et la pauvreté est désormais estimée à au moins 4.000 personnes. Fracturés en petits groupes, ils marchent en direction de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, où ils espèrent obtenir l’asile politique. Mais Donald Trump compte tout faire pour les en empêcher, menaçant, jeudi, de fermer la frontière, cinq mois après la politique de séparation des familles qu’il avait été contraint d’arrêter.
« Je dois, dans les termes les plus forts, demander au Mexique de stopper cet assaut - et s’il n’en est pas capable, je ferai appel à l’armée américaine et FERMERAI NOTRE FRONTIERE DU SUD !… », a-t-il tweeté, renouvelant ses menaces de couper les aides financières aux pays d’Amérique centrale concernés. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo doit se rendre jeudi et vendredi au Panama puis au Mexique.
Face à une nouvelle caravane de milliers de migrants honduriens, Trump menace de fermer la frontière...
Ils étaient 200 il y a une semaine. Mais le bouche-à-oreille et les appels sur les réseaux sociaux aidant, la nouvelle « caravane » de migrants honduriens fuyant pour la plupart les violences et la pauvreté est désormais estimée à au moins 4.000 personnes. Fracturés en petits groupes, ils marchent en direction de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, où ils espèrent obtenir l’asile politique. Mais Donald Trump compte tout faire pour les en empêcher, menaçant, jeudi, de fermer la frontière, cinq mois après la politique de séparation des familles qu’il avait été contraint d’arrêter.
« Je dois, dans les termes les plus forts, demander au Mexique de stopper cet assaut - et s’il n’en est pas capable, je ferai appel à l’armée américaine et FERMERAI NOTRE FRONTIERE DU SUD !… », a-t-il tweeté, renouvelant ses menaces de couper les aides financières aux pays d’Amérique centrale concernés. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo doit se rendre jeudi et vendredi au Panama puis au Mexique.