Dans la nuit du 10 au 11 février, la police a pris sur le fait sept hommes de 24 à 47 ans qui auraient agressé des Kurdes d’Irak, à Loon-Plage, près de Dunkerque, sur un parking où des migrants ont l’habitude de se cacher pour attendre un passage clandestin en Angleterre.
Cinq de ces hommes viennent du Pas-de-Calais voisin, certains sont actifs dans les mouvements « antimigrants », et au moins l’un d’entre eux était présent à la manifestation interdite organisée par Pegida le 6 février à Calais. La police a repéré leurs deux voitures, dans cet endroit insolite, puis a intercepté un groupe de cinq Kurdes d’Irak qui tentait de fuir les agresseurs. Elle a retrouvé deux barres de fer sur les lieux, puis une bombe lacrymogène et une troisième barre de fer dans une des deux voitures.
Dans la nuit du 10 au 11 février, la police a pris sur le fait sept hommes de 24 à 47 ans qui auraient agressé des Kurdes d’Irak, à Loon-Plage, près de Dunkerque, sur un parking où des migrants ont l’habitude de se cacher pour attendre un passage clandestin en Angleterre.
Cinq de ces hommes viennent du Pas-de-Calais voisin, certains sont actifs dans les mouvements « antimigrants », et au moins l’un d’entre eux était présent à la manifestation interdite organisée par Pegida le 6 février à Calais. La police a repéré leurs deux voitures, dans cet endroit insolite, puis a intercepté un groupe de cinq Kurdes d’Irak qui tentait de fuir les agresseurs. Elle a retrouvé deux barres de fer sur les lieux, puis une bombe lacrymogène et une troisième barre de fer dans une des deux voitures.