Le capitalisme peut-il durablement se passer des crises ?
4 janvier 2020, 07:46, par Robert Paris
Karl Marx expliquait que les crises avaient un rôle irremplaçable dans le système capitaliste :
« La crise n’est rien d’autre que la mise en œuvre de l’unité des phases du procès de production, qui se sont autonomisées l’une vis-à-vis de l’autre. »
« Les crises du marché mondial doivent être comprises comme regroupant réellement, et égalisant violemment, toutes les contradictions de l’économie bourgeoise. »
« La crise se retrouve contenue dans le mouvement du capital, pour autant qu’il est aussi marchandise et rien d’autre que marchandise »
(extraits de « Théorie de la plus-value »)
« Les crises ne sont jamais que des solutions violentes et momentanées des contradictions existantes, de violentes éruptions qui rétablissent pour un instant l’équilibre rompu ».
« La raison ultime de toute véritable crise demeure toujours la pauvreté et la limitation de la consommation des masses, en face de la tendance de la production capitaliste à développer les forces productives comme si elles n’avaient pour limite que la capacité de consommation absolue de la société »
Karl Marx expliquait que les crises avaient un rôle irremplaçable dans le système capitaliste :
« La crise n’est rien d’autre que la mise en œuvre de l’unité des phases du procès de production, qui se sont autonomisées l’une vis-à-vis de l’autre. »
« Les crises du marché mondial doivent être comprises comme regroupant réellement, et égalisant violemment, toutes les contradictions de l’économie bourgeoise. »
« La crise se retrouve contenue dans le mouvement du capital, pour autant qu’il est aussi marchandise et rien d’autre que marchandise »
(extraits de « Théorie de la plus-value »)
« Les crises ne sont jamais que des solutions violentes et momentanées des contradictions existantes, de violentes éruptions qui rétablissent pour un instant l’équilibre rompu ».
« La raison ultime de toute véritable crise demeure toujours la pauvreté et la limitation de la consommation des masses, en face de la tendance de la production capitaliste à développer les forces productives comme si elles n’avaient pour limite que la capacité de consommation absolue de la société »
(extraits du « Capital » tomme III)