Accueil > ... > Forum 34307
5 mars 2016, 09:06, par R.P.
Réflexions de Francis Bacon :
Pourquoi un homme aimerait-il ses chaînes, fussent-elles en or ?
On ne peut vaincre la nature qu’en lui obéissant.
Là où l’homme aperçoit un tout petit peu d’ordre, il en suppose immédiatement beaucoup trop.
On n’acquiert tout pouvoir sur les autres qu’en renonçant à tout pouvoir sur soi-même.
La plaisanterie sert souvent de véhicule à la vérité.
Si on commence avec certitudes, on finit avec des doutes. Si on commence avec des doutes, on finit avec des certitudes.
Celui qui possède femme et enfants a donné des otages à la fortune ; car ce sont des obstacles aux grandes entreprises.
Les livres doivent suivre les sciences et non le contraire.
Je croirais plutôt toutes le fables des légendes et le Talmud et le Coran que cette création universelle n’ait pas de créateur.
La lumière ne peut briller qu’en présence d’obscurité.
Le médecin, pour guérir la maladie, tue le malade.
Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.
Veuillez laisser ce champ vide :
Réflexions de Francis Bacon :
Pourquoi un homme aimerait-il ses chaînes, fussent-elles en or ?
On ne peut vaincre la nature qu’en lui obéissant.
Là où l’homme aperçoit un tout petit peu d’ordre, il en suppose immédiatement beaucoup trop.
On n’acquiert tout pouvoir sur les autres qu’en renonçant à tout pouvoir sur soi-même.
La plaisanterie sert souvent de véhicule à la vérité.
Si on commence avec certitudes, on finit avec des doutes. Si on commence avec des doutes, on finit avec des certitudes.
Celui qui possède femme et enfants a donné des otages à la fortune ; car ce sont des obstacles aux grandes entreprises.
Les livres doivent suivre les sciences et non le contraire.
Je croirais plutôt toutes le fables des légendes et le Talmud et le Coran que cette création universelle n’ait pas de créateur.
La lumière ne peut briller qu’en présence d’obscurité.
Le médecin, pour guérir la maladie, tue le malade.