Il n’y a pas eu de « coup d’Etat » contre Syriza en Grèce. Tsipras est resté au pouvoir tout le temps et a supervisé, en consultation avec l’Union européenne, la planification, la négociation et l’adoption de mesures d’austérité draconiennes. L’UE a insisté, comme il fallait s’y attendre, sur l’austérité – c’est pour s’y opposer que Syriza avait été élu. Syriza a capitulé plusieurs fois : il a accepté de prolonger le Mémorandum d’austérité de l’UE en février, puis il a imposé de nouvelles mesures d’austérité en juillet.
Il n’y a pas eu de « coup d’Etat » contre Syriza en Grèce. Tsipras est resté au pouvoir tout le temps et a supervisé, en consultation avec l’Union européenne, la planification, la négociation et l’adoption de mesures d’austérité draconiennes. L’UE a insisté, comme il fallait s’y attendre, sur l’austérité – c’est pour s’y opposer que Syriza avait été élu. Syriza a capitulé plusieurs fois : il a accepté de prolonger le Mémorandum d’austérité de l’UE en février, puis il a imposé de nouvelles mesures d’austérité en juillet.