Le vote parlementaire avec lequel le premier ministre grec Alexis Tsipras a fait passer en force mercredi plus de 900 pages de mesures d’austérité de l’Union européenne (UE) dictées par Berlin a parachevé la terrible trahison du peuple grec par Syriza (‘Coalition de la gauche radicale’).
Syriza a adopté l’austérité pratiquement du jour au lendemain comme si c’était la politique la plus naturelle du monde, répudiant et sa promesse de mettre fin au Mémorandum de l’UE et le vote contre l’austérité au référendum du 5 juillet. Ses mesures d’austérité et ses privatisations à hauteur de dizaines de milliards d’euros dévasteront la Grèce. Les conséquences seront catastrophiques pour des millions de travailleurs déjà confrontés à la faim, au chômage et au manque de soins.
Le vote parlementaire avec lequel le premier ministre grec Alexis Tsipras a fait passer en force mercredi plus de 900 pages de mesures d’austérité de l’Union européenne (UE) dictées par Berlin a parachevé la terrible trahison du peuple grec par Syriza (‘Coalition de la gauche radicale’).
Syriza a adopté l’austérité pratiquement du jour au lendemain comme si c’était la politique la plus naturelle du monde, répudiant et sa promesse de mettre fin au Mémorandum de l’UE et le vote contre l’austérité au référendum du 5 juillet. Ses mesures d’austérité et ses privatisations à hauteur de dizaines de milliards d’euros dévasteront la Grèce. Les conséquences seront catastrophiques pour des millions de travailleurs déjà confrontés à la faim, au chômage et au manque de soins.