Vous demandez s’il faudrait « admettre qu’elles (les constantes de la physique) aussi subissent des changements par "bonds", ou sauts ? »
La question de base est en fait celle-ci : où sont inscrites ces « constantes » ?
La réponse me semble qu’elles proviennent des interactions réelles et pas d’un nombre fixé dans la matière, qu’elles sont le résultat des interactions et pas la cause ou la base de celles-ci, qu’elles émergent de la réalité et pas qu’elles lui préexistent.
Du coup, les constantes émergent sans cesse de ces interactions et sont des bonds… Par exemple, voyons la température d’ébullition ou de solidification de l’eau. Elle dépend des conditions locales et pas d’un nombre préétabli qui serait inscrit dans la molécule H2O.
Vous demandez s’il faudrait « admettre qu’elles (les constantes de la physique) aussi subissent des changements par "bonds", ou sauts ? »
La question de base est en fait celle-ci : où sont inscrites ces « constantes » ?
La réponse me semble qu’elles proviennent des interactions réelles et pas d’un nombre fixé dans la matière, qu’elles sont le résultat des interactions et pas la cause ou la base de celles-ci, qu’elles émergent de la réalité et pas qu’elles lui préexistent.
Du coup, les constantes émergent sans cesse de ces interactions et sont des bonds… Par exemple, voyons la température d’ébullition ou de solidification de l’eau. Elle dépend des conditions locales et pas d’un nombre préétabli qui serait inscrit dans la molécule H2O.