En voici un exemple, celui des rédacteurs de L’Humanité !! Ils considèrent le combat comme un duel dans lequel les deux étaient des barbares mais Staline de milieu plus populaire !!!
« Ce duel qui s’est conclu d’un coup de piolet
Sur le duel en tant que tel, le documentaire est plutôt équilibré. Le retour, bien documenté, sur la terreur stalinienne ne débouche sur aucun angélisme à l’égard de Trotski. En guise de « prophète », on découvre un chef de guerre héroïque face aux contre-révolutionnaires, mais également impitoyable avec ceux qui rechignent à s’engager dans les rangs de l’armée Rouge. « Il n’hésite pas à faire fusiller tous ceux qui s’opposent à son combat », est-il ainsi rappelé. Par ailleurs, la complexité de la personnalité de Staline est bien rendue. Issu d’un milieu très modeste, il n’a pas l’aisance oratoire du fils de propriétaires terriens Trotski. Mais il dispose d’autres atouts, notamment « une très bonne connaissance des ressorts de la psychologie humaine », selon l’historien Alexandre Sumpf, l’un des intervenants. Connaissance qu’il utilisera pour dresser les uns contre les autres ses rivaux politiques, et écarter finalement toute la vieille garde du parti bolchevique, au profit d’hommes qui lui doivent tout. Exilé, Trotski ne renonce pas à jouer sa partition. Au point d’inquiéter sérieusement le maître du Kremlin ? Suffisamment, en tout cas pour que celui-ci le fasse assassiner. Ce sera à Mexico, le 21 août 1940, d’un coup de piolet dans le crâne. 300 000 personnes participeront aux obsèques. »
En voici un exemple, celui des rédacteurs de L’Humanité !! Ils considèrent le combat comme un duel dans lequel les deux étaient des barbares mais Staline de milieu plus populaire !!!
« Ce duel qui s’est conclu d’un coup de piolet
Sur le duel en tant que tel, le documentaire est plutôt équilibré. Le retour, bien documenté, sur la terreur stalinienne ne débouche sur aucun angélisme à l’égard de Trotski. En guise de « prophète », on découvre un chef de guerre héroïque face aux contre-révolutionnaires, mais également impitoyable avec ceux qui rechignent à s’engager dans les rangs de l’armée Rouge. « Il n’hésite pas à faire fusiller tous ceux qui s’opposent à son combat », est-il ainsi rappelé. Par ailleurs, la complexité de la personnalité de Staline est bien rendue. Issu d’un milieu très modeste, il n’a pas l’aisance oratoire du fils de propriétaires terriens Trotski. Mais il dispose d’autres atouts, notamment « une très bonne connaissance des ressorts de la psychologie humaine », selon l’historien Alexandre Sumpf, l’un des intervenants. Connaissance qu’il utilisera pour dresser les uns contre les autres ses rivaux politiques, et écarter finalement toute la vieille garde du parti bolchevique, au profit d’hommes qui lui doivent tout. Exilé, Trotski ne renonce pas à jouer sa partition. Au point d’inquiéter sérieusement le maître du Kremlin ? Suffisamment, en tout cas pour que celui-ci le fasse assassiner. Ce sera à Mexico, le 21 août 1940, d’un coup de piolet dans le crâne. 300 000 personnes participeront aux obsèques. »
https://www.humanite.fr/ce-duel-qui-sest-conclu-dun-coup-de-piolet-569545
Pas de souci ! Même reconvertis à la sauce démocratique capitaliste, le stalnisme n’est pas mort et son combat contre Trotsky non plus du coup !!!