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01- Les contradictions des quanta

2 janvier 2011, 12:31, par Mareau

Tout d’abord je vous signale une erreur (exception qui confirme la règle de bonne rédaction de cet article).

Je cite : "Cela signifie que des "fermions" en nombre inconnu peuvent se trouver dans un même état dans une même position et qu’au contraire deux fermions ne peuvent pas"...

On voit bien qu’il fallait lire "bosons" dans la première partie.

Ensuite, selon la théorie OSCAR déjà introduite dans d’autres commentaires de ce site (voir le sujet traitant du vide), les comportements quantiques (discrets et contradictoires) trouvent une explication ontologique dans le cadre du vide subquantique sous-jacent. Encore une fois, ce nouveau paradigme ne sombre pas dans le "métaphysique" propre aux théories qui font appel aux variables cachées. La règle d’or est la réfutabilité et donc la confirmation par des mesures. Mais cela ne suffit pas ! Il convient également d’obtenir un ratio : nombre hypothèses / nombre de levée d’énigmes, le plus petit possible.

Le seul point que nous aborderons ici, concerne les inégalités de Heisenberg. Elles jouent un rôle fondamental dans la théorie quantique. Mais qu’elles sont leurs origines ? Toujours en se référant à la fonction de base OSCAR et ses inductions, les développements de la théorie montrent que :

0/ l’impulsion des oscillateurs subquantiques, de masse moyenne mo = me / xi^2 est cependant xi fois celle de l’électron, sous la forme, p = me c.
1/ par première induction, la célérité de l’oscillateur 1D subquantique est co = c xi^3.
2/ par seconde induction, le rayon de l’OSCAR (symétrie sphérique macroscopique) vaut xi^3 fois la longueur de Compton de l’électron, lc.
3/ par troisième induction, la période de l’oscillateur subquantique 1D gouverne celle de l’électron (te = 10^-21 s).
4/ par quatrième induction, la célérité, c, d’un photon est gouvernée par la période subquantique selon c = lc / te.
5/ par cinquième induction, la règle de l’inégalité de Heisenberg fait apparaitre des particules virtuelles qui ne sont rien d’autre que des matérialisations des particules subquantiques.
6/ par sixième induction, la masse virtuelle est limitée à la valeur de l’impulsion virtuelle et les développement de la théorie montrent que celle-ci est proportionnelle à la racine carrée (1D / 2D) du rapport d’impulsion et donc xi^1/2.
7/ par septième induction, la masse limite est, en unité électron, égale à xi^1/2, soit la masse du boson de Higgs, 200.9 GeV qui correspond à une des valeurs mesurées au LEP .
8/ par huitième induction, la masse de l’électron et de toutes les particules, sont issues, des masses des particules des oscillateurs, qui elles-mêmes, sont héritées d’un état aléatoire, variable et continu (voir commentaire sur l’article de ce site, traitant du vide).
9/ Le succès de la théorie octuple de Guell-Man cache une grave omission ; les quarks sont induits et non constitutifs. Leur non-séparabilité est d’ailleurs avérée !
10/ par induction (9) la théorie OSCAR impose une limite à la règle d’exclusion de Pauli pour son degré de validité car elle est violée au niveau des "gluons". (ici le développement est long, mais en gros la théorie OSCAR n’a pas besoin de "colle pour expliquer la courbe spécifique de la force forte).

Enfin la théorie OSCAR ouvre la voie à un nouveau paradigme en posant que l’extrapolation à échelle cosmologique de l’expérimentation sur l’annihilation locale, ne peut être en aucun cas, validée en l’état. Avec cette nouvelle règle, l’énigme de l’anti-matière (entre autres) est totalement résolue.

voir l’article 1 fondateur : http://www.cosmologie-asa.com/pdf/resume_pdf.pdf

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