Le mouvement se durcit à La Poste de Colombes (92). Hier, les négociations entre la direction départementale de la Poste et le syndicat Sud ont fini dans l’impasse.
Vendredi, des salariés avaient manifesté devant la mairie de Colombes après l’annonce du licenciement d’un agent qui aurait insulté une supérieure.
« La direction se livre à un vrai chantage, dénonce un syndicaliste. Ils renoncent au licenciement en échange de notre acceptation aveugle du plan de réorganisation sur l’agence de Courbevoie ! » Ce plan prévoirait, selon Sud, la suppression de 7 à 10 tournées. « Ils veulent que le CHSCT ne lance pas d’étude complémentaire. Cela revient à prendre un agent en otage pour faire passer une réorganisation collective », poursuit le syndicaliste. A l’issue des négociations avortées, Sud a déposé un préavis de grève pour jeudi.
Le mouvement se durcit à La Poste de Colombes (92). Hier, les négociations entre la direction départementale de la Poste et le syndicat Sud ont fini dans l’impasse.
Vendredi, des salariés avaient manifesté devant la mairie de Colombes après l’annonce du licenciement d’un agent qui aurait insulté une supérieure.
« La direction se livre à un vrai chantage, dénonce un syndicaliste. Ils renoncent au licenciement en échange de notre acceptation aveugle du plan de réorganisation sur l’agence de Courbevoie ! » Ce plan prévoirait, selon Sud, la suppression de 7 à 10 tournées. « Ils veulent que le CHSCT ne lance pas d’étude complémentaire. Cela revient à prendre un agent en otage pour faire passer une réorganisation collective », poursuit le syndicaliste. A l’issue des négociations avortées, Sud a déposé un préavis de grève pour jeudi.