Des populations livrées sans défense au virus Ebola : un crime de non assistance à humanité en danger de la part des trusts et des Etats
1er octobre 2014, 11:54
Il suffisait de fermer les frontières ?
Un homme a, pour la première fois, été découvert, mardi 30 septembre, contaminé par le virus Ebola en dehors du continent africain. Il a été admis au Texas Health Presbyterian Hospital de Dallas, où il a été placé à l’isolement. Son nom et sa nationalité n’ont pas encore été rendus publics.
Les Etats-Unis avaient déjà été confrontés au retour sur leur sol de deux soignants contaminés au Liberia, puis rapatriés et pris en charge à Atlanta. Ils découvrent cette fois que des personnes peuvent, après avoir été contaminées en Afrique, développer la maladie après leur arrivée sur le sol américain. Ce scénario n’a rien de spécifiquement américain. La même situation peut survenir à tout moment dans l’ensemble du monde.
Il suffisait de fermer les frontières ?
Un homme a, pour la première fois, été découvert, mardi 30 septembre, contaminé par le virus Ebola en dehors du continent africain. Il a été admis au Texas Health Presbyterian Hospital de Dallas, où il a été placé à l’isolement. Son nom et sa nationalité n’ont pas encore été rendus publics.
Les Etats-Unis avaient déjà été confrontés au retour sur leur sol de deux soignants contaminés au Liberia, puis rapatriés et pris en charge à Atlanta. Ils découvrent cette fois que des personnes peuvent, après avoir été contaminées en Afrique, développer la maladie après leur arrivée sur le sol américain. Ce scénario n’a rien de spécifiquement américain. La même situation peut survenir à tout moment dans l’ensemble du monde.