Le virus Ebola frappe l’Afrique et menace le monde : une conséquence catastrophique de la santé au service du profit
11 juillet 2015, 14:06
Plus d’un an après le déclenchement de l’épidémie d’Ebola en Guinée et en SIerra Leone, la présidente de Médecins sans frontières (MSF), Joanne Liu, a regretté samedi 13 juin qu’acteurs de santé et autorités répètent les erreurs du passé.
Face à la résurgence de l’épidémie dans son pays, le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma a décrété vendredi un couvre-feu dans les secteurs affectés des provinces de Kambia et Port-Loko (nord-ouest), avec confinement des habitants à domicile obligatoire pendant 21 jours, durée maximale d’incubation du virus.
« Ce qui nous inquiète aujourd’hui, c’est qu’on a encore une trentaine de cas dans la région, qu’on a neuf préfectures confrontées à des cas et que ça continue à infecter de nouvelles préfectures », a indiqué Mme Liu, en référence à la Guinée et à la Sierra Leone voisines. Le nombre de nouveaux cas a augmenté dans ces deux pays pour la deuxième semaine consécutive, a annoncé mercredi l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Plus d’un an après le déclenchement de l’épidémie d’Ebola en Guinée et en SIerra Leone, la présidente de Médecins sans frontières (MSF), Joanne Liu, a regretté samedi 13 juin qu’acteurs de santé et autorités répètent les erreurs du passé.
Face à la résurgence de l’épidémie dans son pays, le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma a décrété vendredi un couvre-feu dans les secteurs affectés des provinces de Kambia et Port-Loko (nord-ouest), avec confinement des habitants à domicile obligatoire pendant 21 jours, durée maximale d’incubation du virus.
« Ce qui nous inquiète aujourd’hui, c’est qu’on a encore une trentaine de cas dans la région, qu’on a neuf préfectures confrontées à des cas et que ça continue à infecter de nouvelles préfectures », a indiqué Mme Liu, en référence à la Guinée et à la Sierra Leone voisines. Le nombre de nouveaux cas a augmenté dans ces deux pays pour la deuxième semaine consécutive, a annoncé mercredi l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).