Comme en 1914 les chefs d’État impérialistes de tout poil - de Trump à Macron en passant par beaucoup d’autres- peuvent préférer la guerre à la confrontation sociale et à la crise de leur pouvoir. Soulevons-nous : c’est la voie de la survie contre le capitalisme, la guerre et le réchauffement. En agissant pour la grève générale, pour chasser Macron, nous agissons aussi pour cela.
L’élimination, ce 2 janvier, de Qassem Suleiymani (un bourreau que l’on ne va pas regretter), chef de la garde prétorienne du régime iranien, est un coup d’État de Trump, qu’il a pu mener à bien parce que cette fois-ci ça redore son état-major que, lors de son précédent coup, il avait squeezé en lançant Erdogan – et Poutine- sur les régions kurdes de Syrie du Nord. Le coup vise le Congrès US et vise à instaurer à Washington un pouvoir présidentiel sans précédent, déséquilibrant les fondamentaux constitutionnels US. Il « compense » aussi la non-réaction US au bombardement de la plus importante raffinerie saoudienne voici quelques semaines.
Mais la suite de ce coup consiste dans la guerre contre l’Iran sur le terrain irakien – au moins. Trump et les mollahs ont un intérêt commun à se faire la guerre : leur ennemi commun, le peuple irakien, soulevé dans tout le Sud du pays, est celui qu’il s’agit de faire taire et d’étouffer.
Mettre la guerre à la place de la révolution, voila leur programme dans la mesure où ils en ont un.
Contre la guerre, révolution !
Comme en 1914 les chefs d’État impérialistes de tout poil - de Trump à Macron en passant par beaucoup d’autres- peuvent préférer la guerre à la confrontation sociale et à la crise de leur pouvoir. Soulevons-nous : c’est la voie de la survie contre le capitalisme, la guerre et le réchauffement. En agissant pour la grève générale, pour chasser Macron, nous agissons aussi pour cela.
L’élimination, ce 2 janvier, de Qassem Suleiymani (un bourreau que l’on ne va pas regretter), chef de la garde prétorienne du régime iranien, est un coup d’État de Trump, qu’il a pu mener à bien parce que cette fois-ci ça redore son état-major que, lors de son précédent coup, il avait squeezé en lançant Erdogan – et Poutine- sur les régions kurdes de Syrie du Nord. Le coup vise le Congrès US et vise à instaurer à Washington un pouvoir présidentiel sans précédent, déséquilibrant les fondamentaux constitutionnels US. Il « compense » aussi la non-réaction US au bombardement de la plus importante raffinerie saoudienne voici quelques semaines.
Mais la suite de ce coup consiste dans la guerre contre l’Iran sur le terrain irakien – au moins. Trump et les mollahs ont un intérêt commun à se faire la guerre : leur ennemi commun, le peuple irakien, soulevé dans tout le Sud du pays, est celui qu’il s’agit de faire taire et d’étouffer.
Mettre la guerre à la place de la révolution, voila leur programme dans la mesure où ils en ont un.
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