Quelque 3 000 indigènes représentant une centaine d’ethnies sont réunis à Brasilia jusqu’au samedi 28 avril. Ils participent au traditionnel rassemblement annuel « Campement terre libre » pour défendre leurs droits. Jeudi 26 avril, ils ont défilé dans les rues de la capitale brésilienne pour dénoncer la politique du président Temer à leur égard et la violence dont ils se disent victimes. Vêtus de leurs habits traditionnels, ils ont également demandé la délimitation de leurs terres ancestrales.
Pour l’organisation qui représente les peuples indigènes au Brésil, l’ABIP, la menace est réelle : « Nous vivons les atteintes les plus graves à nos droits depuis le retour de la démocratie », a-t-elle déclaré lors du rassemblement à Brasilia. Les Indiens accusent le président Michel Temer d’avoir cédé aux pressions de l’agro-industrie et de refuser la délimitation des terres, première étape vers leur restitution.
Quelque 3 000 indigènes représentant une centaine d’ethnies sont réunis à Brasilia jusqu’au samedi 28 avril. Ils participent au traditionnel rassemblement annuel « Campement terre libre » pour défendre leurs droits. Jeudi 26 avril, ils ont défilé dans les rues de la capitale brésilienne pour dénoncer la politique du président Temer à leur égard et la violence dont ils se disent victimes. Vêtus de leurs habits traditionnels, ils ont également demandé la délimitation de leurs terres ancestrales.
Pour l’organisation qui représente les peuples indigènes au Brésil, l’ABIP, la menace est réelle : « Nous vivons les atteintes les plus graves à nos droits depuis le retour de la démocratie », a-t-elle déclaré lors du rassemblement à Brasilia. Les Indiens accusent le président Michel Temer d’avoir cédé aux pressions de l’agro-industrie et de refuser la délimitation des terres, première étape vers leur restitution.