2014, année de l’amiante en France : dix tués par jour sans condamnation, est-ce un crime d’Etat ?
2 avril 2016, 06:59
Depuis 2013, l’association Amiante Hazemeyer-Unelec s’est lancée dans une bataille judiciaire. Des ex-salariés des usines sises route de Guise à Saint-Quentin, ont engagé une bataille judiciaire contre leurs anciens employeurs. Les plaignants reprochent à Hazemeyer, qui produisaient des fusibles et disjoncteurs, de « ne pas avoir respecté la réglementation en vigueur ». Et d’avoir ainsi mis en danger ses salariés.
Plusieurs audiences en justice ont déjà eu lieu et une nouvelle "vague" de 122 d’entres eux avait rendez-vous devant le conseil de prud’hommes de la ville pour faire reconnaitre leur exposition à l’amiante durant leur carrière et réclamer une indemnisation.
Depuis 2013, l’association Amiante Hazemeyer-Unelec s’est lancée dans une bataille judiciaire. Des ex-salariés des usines sises route de Guise à Saint-Quentin, ont engagé une bataille judiciaire contre leurs anciens employeurs. Les plaignants reprochent à Hazemeyer, qui produisaient des fusibles et disjoncteurs, de « ne pas avoir respecté la réglementation en vigueur ». Et d’avoir ainsi mis en danger ses salariés.
Plusieurs audiences en justice ont déjà eu lieu et une nouvelle "vague" de 122 d’entres eux avait rendez-vous devant le conseil de prud’hommes de la ville pour faire reconnaitre leur exposition à l’amiante durant leur carrière et réclamer une indemnisation.