Les classes dirigeantes ont peur de la capacité révolutionnaire des travailleurs, peur que ces derniers s’organisent par eux-mêmes en tant que classe et qu’ils prennent la tête de toutes les couches mécontentes de la population, des jeunes chômeurs sans avenir, des retraités aux pensions réduites, des paysans pauvres, des petits pêcheurs, des petits artisans menacés de faillite, de tous ceux que la crise va inévitablement frapper et auxquels la classe ouvrière doit s’adresser pour leur montrer qu’elle ne lutte pas de manière corporatiste mais pour défendre toutes les victimes du système.
Les classes dirigeantes ont peur de la capacité révolutionnaire des travailleurs, peur que ces derniers s’organisent par eux-mêmes en tant que classe et qu’ils prennent la tête de toutes les couches mécontentes de la population, des jeunes chômeurs sans avenir, des retraités aux pensions réduites, des paysans pauvres, des petits pêcheurs, des petits artisans menacés de faillite, de tous ceux que la crise va inévitablement frapper et auxquels la classe ouvrière doit s’adresser pour leur montrer qu’elle ne lutte pas de manière corporatiste mais pour défendre toutes les victimes du système.