Le curé de Saint-Etienne qui hébergeait des sans papiers, notamment des familles avec enfants scolarisés, dans son église avait été relaxé après un premier procès. Le juge Henry Helfre avait retenu les « motifs de nécessité invoqués, qui peuvent justifier son attitude par la sauvegarde d’un intérêt supérieur ». Il s’est appuyé sur le Code de l’action sociale et des familles et sur une décision du Conseil d’Etat de février 2012 ayant « érigé le droit à l’hébergement d’urgence au rang d’une liberté fondamentale ». Mais la justice avait fait appel et relancé son accusation contre le curé... Il vient de repasser en procès. Il est à nouveau menacé d’une condamnation...
Le curé de Saint-Etienne qui hébergeait des sans papiers, notamment des familles avec enfants scolarisés, dans son église avait été relaxé après un premier procès. Le juge Henry Helfre avait retenu les « motifs de nécessité invoqués, qui peuvent justifier son attitude par la sauvegarde d’un intérêt supérieur ». Il s’est appuyé sur le Code de l’action sociale et des familles et sur une décision du Conseil d’Etat de février 2012 ayant « érigé le droit à l’hébergement d’urgence au rang d’une liberté fondamentale ». Mais la justice avait fait appel et relancé son accusation contre le curé... Il vient de repasser en procès. Il est à nouveau menacé d’une condamnation...