Catastrophe humanitaire aux Philippines mais pas une catastrophe si naturelle que cela !
12 novembre 2013, 19:29
"Où est la nourriture, où est l’eau ?" clame le peuple philippin !
"Il n’y plus rien pour nous ici", témoigne Carol Mampas, 48 ans et un enfant de trois ans. "Nous n’avons plus de maison, plus d’argent, plus de papiers. S’il vous plaît, dites aux autorités de nous aider ! Où est la nourriture, où est l’eau ?" Comme des centaines d’autres personnes, elle a passé la nuit dans l’aéroport de Tacloban et attend de prendre un vol pour fuir.
Dans les ruines, des cadavres. Dans les bâtiments encore debout, des survivants armés qui pillent ce qu’ils peuvent y trouver. Pour les décourager, les autorités ont donc annoncé le déploiement de véhicules blindés et ont imposé un couvre-feu.
Le président philippin, Benigno Aquino, a déclaré lundi l’état de catastrophe nationale. "Dans les jours qui viennent, soyez-en certains, l’aide va vous arriver de plus en plus vite", a-t-il indiqué.
Mais rien ne vient et peut-être que rien ne viendra vu la carence totale des autorités dès qu’il s’agit de satisfaire les besoins vitaux du peuple....
"Où est la nourriture, où est l’eau ?" clame le peuple philippin !
"Il n’y plus rien pour nous ici", témoigne Carol Mampas, 48 ans et un enfant de trois ans. "Nous n’avons plus de maison, plus d’argent, plus de papiers. S’il vous plaît, dites aux autorités de nous aider ! Où est la nourriture, où est l’eau ?" Comme des centaines d’autres personnes, elle a passé la nuit dans l’aéroport de Tacloban et attend de prendre un vol pour fuir.
Dans les ruines, des cadavres. Dans les bâtiments encore debout, des survivants armés qui pillent ce qu’ils peuvent y trouver. Pour les décourager, les autorités ont donc annoncé le déploiement de véhicules blindés et ont imposé un couvre-feu.
Le président philippin, Benigno Aquino, a déclaré lundi l’état de catastrophe nationale. "Dans les jours qui viennent, soyez-en certains, l’aide va vous arriver de plus en plus vite", a-t-il indiqué.
Mais rien ne vient et peut-être que rien ne viendra vu la carence totale des autorités dès qu’il s’agit de satisfaire les besoins vitaux du peuple....