966 personnes se sont retrouvées en situation de sans-abri après 17 incendies, ajoute le rapport, qui élabore son rapport sur la base de données recueillies dans les médias et auprès des associations.
"En d’autres termes, les autorités françaises ont expulsé près de 3 lieux de vie par semaine", ajoutent les associations, selon lesquelles "cette politique illégale et coûteuse viole le droit international et le droit de l’Union européenne réglementant les évacuations forcées".
Les associations soulignent que le bilan de 2014 est inférieur à celui de 2013, qui s’était soldé par 19.380 évacuations. Ce total représente toutefois "près de 80% de la population totale vivant dans des bidonvilles".
"En d’autres termes, quatre personnes vivant dans un bidonville sur cinq ont été expulsées en 2014. Cette proportion est inacceptable", estime le rapport.
Les associations soulignent aussi le "traitement inégal des bidonvilles sur le territoire", certaines régions expulsant "massivement les personnes vivant dans des bidonvilles tandis que d’autres offrent un climat plus apaisé".
Jugeant que "la politique d’expulsion entrave tous les efforts d’intégration, accroît la vulnérabilité des Roms et les marginalise toujours plus", la LDH et l’ERRC appellent le gouvernement "à cesser toutes les expulsions puis à fournir des solutions alternatives de relogement sérieuses et durables".
966 personnes se sont retrouvées en situation de sans-abri après 17 incendies, ajoute le rapport, qui élabore son rapport sur la base de données recueillies dans les médias et auprès des associations.
"En d’autres termes, les autorités françaises ont expulsé près de 3 lieux de vie par semaine", ajoutent les associations, selon lesquelles "cette politique illégale et coûteuse viole le droit international et le droit de l’Union européenne réglementant les évacuations forcées".
Les associations soulignent que le bilan de 2014 est inférieur à celui de 2013, qui s’était soldé par 19.380 évacuations. Ce total représente toutefois "près de 80% de la population totale vivant dans des bidonvilles".
"En d’autres termes, quatre personnes vivant dans un bidonville sur cinq ont été expulsées en 2014. Cette proportion est inacceptable", estime le rapport.
Les associations soulignent aussi le "traitement inégal des bidonvilles sur le territoire", certaines régions expulsant "massivement les personnes vivant dans des bidonvilles tandis que d’autres offrent un climat plus apaisé".
Jugeant que "la politique d’expulsion entrave tous les efforts d’intégration, accroît la vulnérabilité des Roms et les marginalise toujours plus", la LDH et l’ERRC appellent le gouvernement "à cesser toutes les expulsions puis à fournir des solutions alternatives de relogement sérieuses et durables".