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Le nouveau pape François 1er est élu mais la papauté est loin d’être sauvée... Tant mieux : qu’elle crève ! Ce pilier de la réaction mondiale, hostile aux droits des femmes, aux travailleurs, aux droits sociaux, haut lieu de tous les complots fascistes, pilier de l’homophobie, réseau pédophile mondial, réseau de la finance véreuse mondiale, véritable verrue sur le monde issue d’un passé hideux, n’a qu’à tomber...

25 octobre 2015, 09:09

Il n’y aura pas de révolution au Vatican mais seulement une montée lente et sure des mécontentements...

Pas d’intégration des homos, pas de mariage des prêtres, pas d’acceptation des divorces, pas de combat réel contre la pédophilie des prêtres, pas de reconnaissance des crimes, pas de remise en cause de la banque vaticane !!! Mais d’espoirs déçus car il n’y a pas d’espoir à attendre de ce centre de la réaction mondiale qu’est le Vatican.

Même les Romains en ont ras-le-bol !!

Rome qui risque de devenir le théâtre favori du début de désaffection en cours par rapport au Pontife argenti . Car François n’a pas épargné cette ville.

D’abord, il a décidé unilatéralement, sans consulter les autorités locales ou nationales, de proclamer un "jubilé de la miséricorde" à partir du 8 décembre prochain. Prenant de court les administrations, et leur intimant brutalement d’envisager des travaux importants d’aménagement de la voirie ou des transports, du moment qu’il invitait 33 millions de pèlerins (telle est l’estimation) dans une ville surpeuplée et chaotique de 3 millions de résidents. Ces derniers sont pourtant déjà exaspérés par les bus chargés de cathos et de curieux qui bloquent jour et nuit la circulation le long du Tibre en direction de la place Saint Pierre. Ils écarquillent maintenant les yeux à l’idée que ces mêmes bus seront multipliés au moins par dix dans le courant de l’année prochaine.

Ils restent également abasourdis par le rôle que François a joué dans l’éviction du maire, Ignazio Marino, un chirurgien du Parti démocrate, qui gouvernait Rome depuis deux ans. Bien sûr, cet édile avait fait la preuve de son incapacité à affronter les problèmes d’une grande métropole. "Mais cela, c’était notre problème à nous les Romains. Pourquoi a-t-il fallu que Bergoglio le fasse tomber ?", s’exclame une Romaine, peu catholique il est vrai.
Car c’est en revenant de son récent périple américain que François, sollicité dans l’avion de retour par les journalistes, a tenu à préciser qu’il n’avait nullement invité le maire de Rome à le suivre à Philadelphie, contrairement à ce que ce dernier laissait entendre en s’exhibant sous les cieux américains avec son écharpe tricolore bien italienne. Le "Je ne l’ai pas invité, c’est clair ?" du Pape a fait frissonner l’establishment de cette ville où le potentat qui règne sur les 44 hectares vaticanesques compte plus en définitive que l’élu qui en gouverne 440.000… Et fait dégringoler le premier citoyen.

Bien ou mal, est-ce que ce sont les Romains qui doivent ou non décider qui gérera leur ville ?", interroge, rhétorique, un élu municipal.

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