Accueil > ... > Forum 52605

Une hypothèse sur l’origine quantique virtuelle de la gravitation entre particules de masse inerte

20 septembre 2021, 10:38, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦20210920¦¦ Bonjour. Merci d’avoir répondu. Je conçois très bien ce nuage de polarisation autour de particules, comme vous et la physique actuelle, mais pourquoi vous l’avez étendu a tout le vide de l’espace de l’Univers ? D’autant que ce nuage est plus dense et agité en fluctuations hors matière dans votre hypothèse !! Je vous ai proposé exactement l’inverse de votre hypothèse, c’est à dire que proche de la matière de masse, ce nuage est d’autant plus agité, car c’est comme si ces bosons de Higgs étaient des attracteurs ou des assembleurs qui attirent ces particules virtuelles, et la dépression du vide revient au même pour concevoir une attraction des masses engendrant la gravitation, mais vous ne parlez pas de ma proposition. Dans votre hypothèse ou concept, il faut une différence de densité de ces fluctuation du vide, et vous avez portez une déficience ou dépression autour des objets de masse où se trouvent ces bosons de Higgs. Je pense exactement le contraire, car où la masse se trouve, les bosons y sont, et ces derniers attirent aussi ces particules virtuelles, ainsi la dépression se fait au milieu entre les masses et non proche des masses. Cela me semble plus logique, et votre idée reste la même, sauf qu’elle est inversée, car d’avoir une dépression de fluctuation quantique est une superbe idée et permet d’entrevoir une gravitation attractive des masses, par le biais de dépressions.

▬PARTICULES VIRTUELLES (suite 2) :
▬Pour ma part, une particule virtuelle ne naît pas en apparaissant, et ne meurt pas en disparaissant, car c’est toujours la même existence de cette particule virtuelle, mais simplement elle fait des sauts, et comme le saut n’a pas de laps de temps, car immédiat ou instantané, sa vitesse de saut doit être considérée comme une vitesse infinie, mais sa durée de vie ou d’apparition doit être considérée par contre comme une durée réelle mais très courte, donc non nulle. Il faut aussi considérer, que ce qui apparaît est statique, c’est à dire sans mouvement. Si on considère que ces particules virtuelles sont des points lumineux, alors le vide quantique est toujours lumineux, mais des points s’éteignent et d’autres s’allument sans pour autant savoir le parcours d’une seule particule virtuelle. La notion de parcours ou de trajet doit être supprimé. Les notions de pressions ou de dépressions liées aux particules virtuelles sur les masses, me semble pas tout à fait correspondre à ces notions, car les particules virtuelles sont polarisées, et une particule virtuelle à une charge soit positive soit négative, et le type de poussée ne serait plus des chocs, mais des apparitions de charges subites, et suivant la polarité qui apparaît cela donnerait autant de répulsion que d’attraction vis-à-vis de la particule de masse. Dans cette hypothèse, les chocs n’existent pas, et donc que la densité soit plus grande ou plus faible, ne fait rien changer au niveau des dépressions et des pressions supposées. Comme le temps de parcours par saut de ces particules virtuelles, n’a pas de durée, la notion de choc ne peut pas exister, ce qui enlève cette notion de poussée des particules virtuelles. Comment avoir des chocs sans mouvement et donc avoir une poussée sans mouvement ? Ces apparitions et disparitions de particules virtuelles sont statiques, mais via les charges opposées il y a réarrangements ce qui donne une dynamique pour engendrer une dépression comme une pression d’ailleurs. C’est en fait l’arrangement des polarités qui donne cette dynamique de mouvement et engendre pression et dépression.

▬Remarques dans les différents articles de ce site, abordant les particules virtuelles : Ces dernières sont typées, ce qui veut dire que toute la batterie de particules de masse dites réelles existent aussi bien en particules virtuelles, et on pourrait même aller plus loin en disant que des atomes virtuels peuvent exister. Ceci est le fait que le boson de Higgs donnant une masse provisoire, passant d’une particule de masse à une particule virtuelle, fait obligatoirement un choix que doit faire le boson de Higgs qui est de prendre le même type de particule qu’il quitte, ainsi les bosons de Higgs seraient aussi typés, ce qui parait logique mais plus qu’étrange en dupliquant la notion de particules virtuelles en les typant comme encore ces bosons de Higgs. Qu’il y ait des échanges entre ces particules virtuelles et les particules de masse est une réalité, mais les échanges ne se font pas sur la particule entière de masse mais seulement d’une partie de la particules de masse, c’est du moins mon concept. On parle souvent de couple ou de paires de particules virtuelles de charges opposées, rendant électriquement neutre ce couple, car l’assemblage donne une charge neutre. C’est par ces couples que ce font les échanges, car la particule réelle de masse, est en fait une multitude de ces couples, plus une unité de base qui n’est pas couplée. Cela veut dire que les particules élémentaires ne sont sont nullement élémentaires, car composées de couples de particules virtuelles. Le mot virtuel est mal choisi, car on devrait appelé ces particules de bas niveau, ainsi des particules de base. Il y aurait ainsi des briques encore plus fondamentales que les particules élémentaires, qui seraient les particules de base de charge positive ou négative voir neutre, ce qui veut dire qu’il y aurait 2 ou 3 types de particules de base. Pour moi toute particule élémentaire, est un assemblage de couples de particules virtuelles plus une particule de base non couplée, donnant ainsi une charge positive ou négative.
▬Je ne vois donc pas le même vide quantique que le votre, car pour moi ce vide quantique possède des unités chargées négativement ou positivement, voir même neutre, qui sont calibrées de la même façon, mais seules les charges changent et ces unités, sont les particules de base des particules réelles. Les couples de particules de base, qui peuvent se faire et se défaire, sont utilisés par les particules de masse, car les vraies échanges entre partie réelle et virtuelle, sont ces couple, mais cela sous-entend que ce ne sont que des partie de la particule de masse qui est échangée, ainsi un couple de base de charges opposées est pris en compte par la particule élémentaire, mais forcément un même couple de la particule est redonné au vide de l’espace. Le boson ne fait que l’union de ces couples concentrés, mais ce boson ne saute pas d’une particule réelle à une particule virtuelle, car i est le lien d’un ensemble, même si cet ensemble change de partie. Dans ce sens les particules virtuelles ne sont plus typées, ainsi que les bosons de Higgs. Il n’y a donc qu’un seul type de particule de base et un seul type de boson agissant sur des couples de charges opposées. Ces couples de particules de base de charges opposées peuvent être libres et sont ces particules virtuelles, ou alors utilisés dans la conception de la particule élémentaire, et donc une particule élémentaire est un assemblage de ces couples, et le boson de Higgs ne s’adresse pas à une particule spécifique, mais à un couple d’une partie de la particule élémentaire et forcément au couple virtuel.
▬On parle très souvent de sauts quantiques dans vos articles sur les physiques, mais qu’elle est la distance de ces sauts ? La taille d’une particule qui donnerait une distance ? De plusieurs particules ? Le brutalement loin, est difficile à comprendre à cette échelle, car on a aucune notion de dimension de ce loin par rapport à une taille d’une particule qui donnerait une référence. De plus on parle de particules réelles, mais un atome est constitué de plusieurs particules différentes, et de tailles différentes comme de masses différentes, donc un saut quantique loin ou long, s’adresse t-il à l’électron de l’atome, à un quark de l’atome ? Comme l’atome est un tout difficilement dissociable, si les sauts quantiques s’adressent à des particules pour un même atome, ces sauts peuvent alors avoir des sens opposés, cela donne quoi pour l’atome résultant qui à sauté, et dans quel sens, et de quelle distance ? Je ne rejette en rien ces sauts dits quantiques, mais on s’adresse toujours aux particules, mais la particule fait partie d’un ensemble qu’est l’atome, alors que devient l’atome après des sauts quantiques de ses particules ou plus exactement utilisant d’autres particules quantiques ? Pour moi ces sauts ne s’adressent pas à l’atome, ni même à une particule spécifique de l’atome, mais s’adressent surtout à des parties de la particule de masse, car une particule ne fait pas UN, bien que la physique des particules dit que ces ces particules soient élémentaires. Cela voudrait dire qu’elles sont continue dans leur structure !!! Enfin du continu, mais auquel je ne crois absolument pas, car le continu n’existe pas, et pourtant l’unité de la particule élémentaire laisse supposer que ...

▬PARTICULES VIRTUELLES (suite 3) :
▬Pour ma part une particule quelconque est constituée d’une multitude d’entités interchangeables, dont justement ces particules virtuelles couplées par charges opposées qui servent à échanger des parties de la particule réelle, où celle-ci réarrange sa structure après des sauts quantiques. Ceci montre que l’électron par exemple, n’a pas vraiment de forme spécifique, mais prend toutes les formes suivant ces sauts et qu’il se réarrange ensuite rapidement, par le biais de sa force électromagnétique, du moins les charges se réarrangent. Le saut ne peut pas être mesuré en temps, mais la forme d’une particule comme l’électron après sauts et réarrangements de la particule et de sa structure réarrangée peut l’être. Donc ce n’est ni l’atome qui saute, ni même les particules le constituant, mais des parties de particules. Donc le boson de Higgs s’adresse à des atomes ou particules, mais une fois que les réarrangements sont établis, et on ne peut pas mesurer une partie de particule pendant un saut, car ces sauts sont déjà instantanés, et aussi le réarrangement est très rapide, car il dépend des charges qui s’opposent ou qui s’attirent, après ces sauts quantiques. Donc les particules virtuelles ne sont en rien des duplications de particules réelles ou même des atomes sans masse soit disant, mais des parties de particules réelles. Ainsi une particule réelle dite élémentaire est un assemblage d’une multitude de ces couples de particules virtuelles, et c’est la quantité et donc un seuil d’assemblage qui en fait une particule réelle calibrée et stable dans le temps, mais cette stabilité change tout le temps, car il y a constamment des échanges entre parties de particules réelle et les paires de particules couplées du vide quantique. Cette façon de voir est un nouveau concept, car je ne crois pas qu’il y ait une panoplie de particules virtuelles utilisables via les particules de masse, car il faudrait aussi une panoplie de bosons de Higgs adaptés.
▬J’ai d’autres choses à dire, mais je découpe mes messages utilisateur par obligation...
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.