En réponse à :
17 mai 2017 09:01
Buffon dans "L’histoire naturelle, générale et particulière" :
(...) quand on les traite mal, ils prennent le chagrin fort à cœur et périssent quelquefois de mélancolie : ils sont donc fort sensibles aux bienfaits et aux outrages, et ils portent une haine mortelle contre ceux qui les ont maltraitez ; lorsqu’au contraire ils s’affectionnent à un maître, il n’y a rien qu’ils ne fussent capables de faire pour lui marquer leur zèle et leur dévouement. Ils sont naturellement compatissans et même tendres pour leurs enfans, pour leurs amis, pour leurs compatriotes* ; ils partagent volontiers le peu qu’ils ont (...)